Ce week-end, j’ai repris pour la énième fois les travaux entamés dans mon ancienne chambre chez mes parents, pour essayer une fois pour toute de la remettre à neuf. Le décès de mon grand-père l’été dernier avait temporairement stoppé mon élan bricoleur. Fort heureusement, le plus dur avait selon moi été effectué (i.e. un bien peu gratifiant décollage de moquette). Ces deux jours nous ont donc permis (à mon père et à moi-même) de repeindre le plafond de la chambre. Sur le papier, ça n’est pas très difficile, mais la chambre est sous toit, en pentes, et deux poutres porteuses parcourent le plafond. Il a donc fallu faire attention à ne pas tacher les poutres, et pour le parcours de la surface, superposition de figures géométriques plus ou moins facilement atteignables, il a fallu s’armer de patience. Mais bon, ça y est, c’est fait. Je note d’ailleurs que cette peinture achetée il y a presque quatre années était encore largement potable ! Je ne sais pas quelle est la date de péremption des différents types de peintures que l’on trouve pour les gros travaux d’aménagement intérieur du type mur et plafond, mais j’imagine que tant que le pot n’a pas été ouvert, il y a une bonne marge. Hmm, d’ailleurs, qu’est-ce qu’une peinture périmée ?
Prochaine étape, la pose du parquet, dès le week-end prochain je pense. Cette étape sera bien plus rigolote et donnera enfin une très bonne tendance du nouveau cachet de cette chambre (que je souhaite transformer en un jolie bureau pour mes parents – mais j’y garderai accessoirement mon lit 😉 ).