Weekend sportif

J’ai réussi, une fois n’est pas coutume, à faire à peu près toutes les activités qui étaient prévues à mon agenda durant ce weekend de 4 jours.

J’ai ainsi d’abord pris soin d’aller voir le dernier X-Men au cinéma. Même si j’ai passé un bon moment, je dois dire que je ressors du film légèrement déçu. Quelques incohérences (mais pas trop méchantes, on pouvait s’y attendre dès qu’un voyage dans le temps pointe le bout de sa DeLorean de toute façon) , trop de personnages dont certains apparaissent pour des Deus Ex Machina légèrement surfaits et un cœur d’intrigue mal exploité (j’attendais davantage de tension dramatique autour du personnage de Raven/Mystique) qui font qu’au final, je n’échange pas ce film contre le First Class.

J’ai le lendemain passé un agréable moment avec des amis que je n’avais pas vu depuis de longs mois. C’est incroyable à quel point les semaines défilent (oui j’ai déjà dû le dire des centaines de fois sur ce blog, mais j’adore me répéter et puis on est déjà au mois de juin bordel !) et à quel point la distance rend certaines rencontres d’autant plus précieuses qu’elles sont rares. Ce fut l’occasion de me rendre à la Pastasciutta pour la seconde fois en l’espace de trois mois. Un record depuis l’année 2011 je crois. Il faut dire que j’ai quelque peu élargi mon spectre de restaurants toulousains ces derniers temps. Même si je reste toujours à la recherche d’un japonais digne de ce nom ! Je n’en ai jamais trouvé de mauvais, je n’ai donc pas à me plaindre, pourtant j’aimerais en trouver un qui me fasse saliver mes papilles et que je puisse conseiller à des amis les yeux fermés. C’est assez ambitieux comme projet, j’en conviens !

J’ai aussi trouver la motivation nécessaire pour faire du vélo. Suffisamment pour me mettre en jambe avant des matchs de tennis et de badminton. Ça serait quand même bien que j’arrive à tenir un rythme régulier car même s’il y a clairement du mieux, ce n’est pas encore tout à fait ça ! Tiens, justement, demain je fais un basket. Je ne sais pas ce qui m’a pris. Je n’ai pas touché à un ballon de basket depuis des années ! Et d’ailleurs, je n’aime pas particulièrement le basket mais c’est l’occasion de pratiquer autre chose qu’un sport individuel alors je peux bien tenter une fois. Au moins mes jambes devraient répondre 🙂 . En parlant de sport, il faudrait que je m’achète une nouvelle raquette de badminton puisque j’ai pété le cordage de ma vieille raquette (vieille = au moins 15 ans) et que j’ai match dans une semaine.

Enfin, j’ai pris mon courage à deux mains pour effectuer le méga grand rangement dont ma chambre (enfin, mon ancienne chambre chez mes parents) avait besoin. Je n’en reviens d’ailleurs toujours pas de tout ce boulot abattu en deux jours. Mon dos devrait d’ailleurs en garder un souvenir vivace. Mais bon, il y a urgence, et j’en avais marre de voir cette chambre dans cet état. Au moins elle est désormais prête ! Prête à quoi ? Et bien à être repeinte (le plafond), retapissée (la tapisserie dort dans un placard depuis 3 ans), et point d’orgue de cette refonte, le tapis va pouvoir être arraché pour laisser place à du parquet qui dort lui aussi depuis presque trois longues années. Et oui, tout était prêt depuis la fin d’année 2011 il me semble, mais trop de flemme, trop d’autres choses, et la chambre n’avait jamais été refaite ! J’ai désormais bon espoir ! C’est tout moi en tout cas que de vouloir en finir avec cette chambre alors que j’aurais bien plus urgent à faire dans mon appartement ! Mais j’ai du mal à laisser un chantier en plan (ou une potentialité de chantier plus précisément). Je pense que j’aurai l’esprit plus serein une fois que ça sera fait ! Et mine de rien, faire du grand rangement comme ça, c’est bien agréable pour la tête comme les magazines de psychomachinchose aiment à le rappeler !

Le Zénith, dix ans plus tard

C’est parfois terrible de se rendre compte à quel point le temps peut vite filer ! Pas plus tard que ce mercredi, j’avais rendez-vous au Zénith de Toulouse pour assister au nouveau spectacle de Franck Dubosc (mon premier one-man-show en live soit dit en passant). Surpris par la grandeur de la salle et le grand nombre de personnes présentes ce soir là, il ne m’a pas fallu longtemps pour comprendre qu’après dix années d’absence, je pouvais bien afficher les yeux ébahis de la personne qui y mettrait les pieds pour la première fois. Dix années d’absence, voire un tout petit peu plus, puisque la dernière fois où j’avais mis les pieds au Zénith de Toulouse, c’était lors d’un concert du groupe Muse, le mars 22 mars 2004, pour ce qui était alors ma seconde visite dans cette salle, 4 mois après ma première, le 29 octobre 2003, pour un concert de Placebo.
Vais-je attendre 2024 pour mon prochain Zénith toulousain ?

Ma galerie d’art

Puisque je suis actuellement en pleine phase décoration de l’appartement, je me posais au détour de quelques rêveries la question suivante : si j’en avais la possibilité, quelles oeuvres d’artistes reconnues internationalement (à tout le moins dont il existe un article sur Wikipedia pour faire simple) est-ce que je souhaiterais trouver aux murs de mon salon ou de ma chambre ?

Encore une question existentielle s’il en est ! Et ma foi pas totalement inintéressante ! Je suppose déjà que je n’en voudrais pas beaucoup, moins d’une dizaine c’est clair, et plutôt aux alentours de cinq. Je n’ai d’une part pas tant de murs que ça, et d’autre part, ce n’est pas mon style de surcharger mon environnement.

Et pourtant, après quelques réflexions, je me rends compte que deux ou trois peintres seulement viennent spontanément à mon esprit ! Des peintres dénommés Dali, Turner ou Picasso. De Dali, j’avoue aimer énormément nombre de ses tableaux, le choix serait bien difficile à faire. De Picasso, j’apprécie particulièrement la période cubiste (je pourrais d’ailleurs inclure Braque dans la liste des cubistes à étudier). Je raffole aussi énormément des aquarelles de Turner. Monet devrait sans doute apparaître dans ma liste aussi.

Mais franchement, quid du choix d’une œuvre ? En fait, cette question existentielle est peut-être stupide ! Notamment parce qu’en dépit des apparences éventuelles, je n’ai globalement aucune culture de l’histoire de la peinture, des peintres et des différents mouvements qui sont apparus et ont disparus au gré des périodes de l’Histoire, si ce n’est de vagues connaissances de culture générale (mais je suppose que c’est déjà mieux que rien 😉 ). En tout cas, si je souhaite un jour apporter une réponse un peu plus claire à ce billet, il faudra peut-être que je m’oriente vers une belle reproduction d’une œuvre (car il faut bien dire que la plupart des œuvres de ces artistes, outre le fait qu’elles appartiennent à des musées, doivent dans tous les cas être totalement hors d’atteinte de mon porte-monnaie 🙂 ). Tiens, je pourrais peut-être parler des spéculations en tous genres dans une prochaine entrée…

Nouvelles en bref

Je n’ai pas eu trop de temps pour bloguer ces dernières semaines. D’abord, je suis tombé un peu malade (un classique vilain rhume), ce qui m’a empêché de participer à la finale régionale du concours d’orthographe organisé par Les Timbrés de l’orthographe. J’étais globalement assez déçu de ce mauvais timing mais je retenterai ma chance l’année prochaine.

Là où je ne suis vraiment pas content de moi, c’est par rapport aux films que je voulais voir au cinéma ! A chaque fois, et en dehors de ma semaine de rhume, je ne trouvais pas le temps d’aller voir les films qui m’intéressaient, et là je sens que je vais galérer pour rattraper mon retard, j’ai intérêt à vite me dépêcher avant qu’il ne soit trop tard ! Priorité à Her !

Et puis, si je n’ai pas trouvé le temps, c’est aussi un peu ma faute, puisque je me suis soudain remis à la généalogie (après pas mal de recherches à l’été 2010). Cette fois-ci, je me suis promené au sein des archives départementales de la Haute-Garonne et au sein des archives municipales de Toulouse, ce qui m’a permis de défricher de manière conséquente tout un pan familial en partant de mon arrière-grand-père toulousain. Intéressant, prenant, mais là, j’arrive au bout de ce que je peux trouver grâce aux numérisations d’archives disponibles en ligne ! J’en reparlerai certainement dans une prochaine entrée !

Gabriel Garcia Marquez est décédé ce 17 avril. Alors j’en profite pour conseiller à tout le monde de lire ses romans et nouvelles qui sont magnifiques, en particulier les très connus Cien años de soledad et El amor en los tiempos del cólera !

Après avoir récolté pas mal d’échos positifs sur cette boutique, je recommande effectivement ses produits pour les fans de chocolats !

L’expérience traumatisante des documentaires animaliers

Pas plus tard que dimanche dernier, je zappais sur mon PC de chaînes en chaînes, prisonnier des chaînes du désœuvrement. C’est alors que je tombe sur un documentaire animalier. Sans être un fan absolu de ce genre de programmes, j’apprécie toutefois de temps à autre ! Les commentaires sont souvent intelligents (peut-être parce qu’il y en a peu 🙂 ), les images très jolies, et les animaux très mignons. J’ai même envie de dire trop mignons ! Tellement mignons que l’on s’attache forcément à l’un de ces bébés éléphant/lion/hippopotame. Jusque là, rien de grave, sauf quand les réalisateurs et scénaristes de ces documentaires prennent un malin plaisir à nouer un destin funeste pour notre nouvel ami ! Dimanche, c’est ainsi notre bébé hippopotame qui a rendu l’âme suite…à une querelle débile entre deux hippopotames mâles qui se battaient pour on ne sait quelle raison (pouvoir ? sexe ? argent ?) et qui dans la confusion ont mortellement blessé le petit ! Au bilan, au cours de ces deux ou trois dernières années, j’ai eu droit à un bébé éléphant mort de soif victime de la sécheresse, un autre qui a eu la trompe arrachée par un prédateur, et j’en passe ! Les adultes se portent bien par contre, merci pour eux ! On est bien loin de ça.
Alors, je veux bien que ce ne soit que le reflet de la dure loi de la nature, que ça fait des milliers, voire des millions d’années que c’est comme ça, et peut-être que je deviens trop sensible, mais merde, ça ne pourrait pas plutôt nous remonter le moral ce genre de documentaires ?! Je reproche surtout aux réalisateurs de faire montrer la sauce pour rien ! Bon, la prochaine fois au moins, je serai prévenu, et je ne me laisserai pas avoir !

CyanogenMod 10.1.3

Je suis enfin passé ce weekend à une version légèrement plus récente de CyanogenMod. En fait, j’avais effectué la première installation de CyanogenMod sur mon Galaxy S2 (GT-I9100) à l’été 2012. A l’époque j’avais installé la version 9.0, basée sur Android 4.0.4. La version 10.1.3, disponible en version stable pour mon smartphone depuis septembre 2013, est basée sur Android 4.2.2. Il était donc temps que je me mette à la page (la version 11, basée sur Android 4.4, n’est encore qu’une nightly pour mon Samsung, mais avec un peu de chances, une RC devrait pouvoir sortir au cours de l’année). En même temps, ce n’est pas comme si je cherchais à me mettre à jour dès que possible, j’ai bien procrastiné 6 mois pour installer cette version. J’admets que j’avais encore une très très légère appréhension de « briquer » mon téléphone, mais franchement, tout s’est une nouvelle fois très bien passé. J’avais bien pris soin de sauvegarder mes contacts, mes sms/mms, logs d’appels et autres applications et datas avant d’effectuer l’installation.

Je n’ai pas encore eu trop le temps de noter les différences majeures entre CM9 et CM10. En tout cas, une nouvelle fonctionnalité d’Android que j’apprécie beaucoup, c’est la rédaction de sms via « Gesture Typing » (comment on dit en français ?) qui permet de faire glisser son doigt de lettre en lettre, puis de relâcher ce dernier une fois le mot complété. Je vois que l’appareil photo a aussi quelques fonctionnalités supplémentaires, mais sans trop d’importance pour moi. J’apprécie surtout toujours autant d’avoir le maximum de contrôle sur mon téléphone (être root en gros) et de pouvoir bidouiller voire planter le système à ma guise 🙂 . D’ailleurs, j’envisage de plus en plus de programmer un petit quelque chose pour Android. Pas grand chose d’intéressant, mais suffisamment chiant pour que je puisse me faire un peu la main.

Et pour le plaisir, une petite capture de mon écran d’accueil. Les plus avisés de mes lecteurs devraient sans mal repérer quelle est cette petite galaxie qui traîne là 🙂 .

Brainstorming cinématographique

Après avoir pris le temps il y a quelque mois de sagement créer ma page Cinéma en m’aidant de tickets précieusement conservés et des petites fiches façonnées à partir de 1998 par ma sœur, j’ai décidé de mener une grande conversation avec mes neurones immémoriaux ainsi qu’avec ma sœur (la même que la précédente). Le sujet de cette conversation ? Déterrer de nos vieux souvenirs tous les films que nous avons pu voir avant ce début d’année 1998, à une époque où nous ne conservions aucun indice particulier de ces séances familiales.
Le brainstorming fut plutôt un succès, puisque j’ai pu répertorier pas moins d’une soixantaine de films visionnés entre 1989 et 1997. Je savais que mes parents nous emmenaient très souvent au cinéma depuis notre tendre enfance, mais de là à atteindre une soixantaine d’œuvres (dont quelques nanars et quelques chefs-d’œuvre), c’est une petite surprise !
Il faut encore que je parle à mes parents (même si je ne me fais guère d’illusions sur leurs souvenirs), parce que si Oliver & Company semble être d’après cette liste ma première expérience en salle obscure, rien ne garantit que je n’en ai pas visionné un autre un petit peu plus jeune encore (vers 4 ans ?). Mon Brainstorming a ses limites !

Comment faire enrager un Guillaume ?

C’est très simple !

Envoyez lui un message en lui indiquant que le centre de documentation de sa boite va fermer, et que par conséquent, l’ensemble des livres du centre, habitants d’étagères poussiéreuses, sont donnés à qui veut bien les récupérer !

Jusque là, tout va pour le mieux. Il devrait même être aux anges, puisque rien de tel qu’une annonce Open Books pour le faire saliver ! Des bouquins à gogo, qui plus est à propos d’informations techniques obscures sur la physique, l’espace ou l’informatique, il ne demande pas mieux ! D’ailleurs, quand on lui précise que l’opération Open Books démarrera un lundi à partir de 12h00 jusqu’à 14h00, et cela pendant deux semaines, il se dit que c’est bon, il ira tranquillement le premier jour faire ses emplettes !

Malheureusement, et c’est là que le bât blesse, le Guillaume n’avait pas prévu qu’il ne serait pas le seul à récupérer quelques bouquins aux frais de la princesse. Du coup, très sûr de lui, il se dit qu’il a même le temps d’aller manger l’esprit Zen en ce lundi de début de semaine, avant de gagner le centre de documentation vers 13h00, soit à peine une heure après le lancement des hostilités. Et là, c’est l’horreur ! En tout cas, pour le Guillaume, ça l’est ! Il n’est pas encore arrivé dans le centre de documentation que déjà il croise certaines personnes avec des kilos de livres, plus volumineux les uns que les autres, sous les bras. Le Guillaume accélère le pas alors que son pouls s’emballe et que la transpiration commence à perler sur son front. Et là, c’est encore l’horreur ! A peine arrivé aux portes du centre, c’est une véritable scène de dévastation qui s’offre à ses yeux. Obligé d’y cligner à deux fois pour se rendre bien compte de la situation (et s’assurer de n’être pas dans un rêve), le Guillaume entame comme il le peut au milieu des inconnus son tour des étagères, qu’il rêvait pleines et opulentes, prêtes à lui offrir leur semence, mais qui ne sont au final qu’alternances de vides et de mauvais bouquins aux pages dépareillées, aux couvertures arrachées. Et le Guillaume aura beau chercher ses cibles tant espérées, elles auront déjà disparues depuis fort longtemps ! L’Open Book s’est transformé en drame…

Bon, OK, je la joue légèrement mélodramatique pour le coup ! Car, mine de rien, à force de sueur et armé d’un peu de courage, j’ai ravalé ma déception et j’ai pu sauver quelques livres de la ruine. Pas forcément les quelques bouquins que j’avais déjà repérés (sur le site de la documentation en ligne), partis depuis belle lurette, mais des titres sympathiques tout de même !

Cela me servira de leçon. Il suffit de peu de livroliques affamés pour transformer une bibliothèque en un espace de désolation !

Ma voiture est enfin mienne

Quatre ans après l’avoir achetée, soit 48 mensualités plus tard, je peux enfin considérer que ma voiture m’appartient pour de bon. Mon premier crédit remboursé, et sans doute pas le dernier. Ce n’est pas tant qu’elle soit mienne qui m’importe que le fait de ne plus avoir ce crédit qui court. J’espère juste, maintenant que ma voiture a 4 ans et que je me suis enfin débarrassé de ces satanées mensualités, ne pas être spammé par constructeurs et banquiers pour déjà acheter une nouvelle voiture et contracter un nouveau crédit. Celle que j’ai me convient parfaitement, et si je peux la garder 20 ans, je n’hésiterai pas à le faire ! D’ailleurs, viendra peut-être le jour où je pourrai totalement me passer d’une voiture, ce qui serait le rêve absolu 🙂

Les femmes du 6ème étage

Il y a presque deux semaines de ça, mon ami Sam était de passage à Toulouse lors de son tour de France, petite escale rapide d’une journée au cours de son périple entre Paris et Grenoble ! Sam, qui n’est jamais avare de bonnes idées, a eu la gentillesse de me prêter son DVD du film Les femmes du 6ème étage. Cela fait quelques temps que je souhaitais visionner ce film, plus précisément depuis le printemps dernier, lorsque Sam m’a avoué, après avoir vu ce film, que le rôle tenue par Fabrice Luchini lui faisait très largement penser à moi. Et visiblement, sa femme Lisa était du même avis. J’avais donc quelques motivations à découvrir ce film et quels points communs je pouvais bien entretenir avec le personnage de Jean-Louis Joubert, incarné à la perfection par Luchini.

Et je dois dire qu’un jour après avoir vu le film, je me pose pas mal de questions existentielles 🙂 . Certes, il est possible que je ressemble à Joubert dans sa manière infantile d’apprendre une langue en prononçant et prononçant encore des mots en essayant d’y mettre l’accent, ad nauseam. Certes, moi aussi je serais certainement tombé amoureux de la très belle Maria ! Mais tout ceci est quand même un peu léger pour me coller cette étiquette de Jean-Louis Joubert. Alors on va dire que Sam a peut-être vu dans Joubert le même désir que je peux parfois manifester de sortir de ma routine, cette personnalité qui ne demande peut-être qu’une petite pichenette et qu’une seule personne pour basculer totalement du côté de la fantaisie que je chérie tant mais que je garde souvent bien au fond de moi faute d’avoir des personnes à proximité avec qui la partager réellement.

Alors, Sam, il va falloir que tu me confirmes ça !

P.S. : le film est excellent !