Crack les coudes

Après les tendinites aux chevilles et aux genoux, je varie un petit peu dans la catégorie déboires corporels puisque j’ai récemment (il y a deux semaines à peu près) fracturer mes deux coudes (fracture bilatérale des cupules radiales plus exactement) suite à une chute idiote due à un stupide obstacle que je n’ai pas vu. Il m’aura fallu attendre 30 ans pour me casser un os (et même deux donc) pour la première fois, ce qui est une belle performance. A posteriori, j’ai du mal à comprendre comment j’ai pu me fracturer ces deux coudes, notamment en regard des quelques monumentales chutes que je me suis prises adolescent. La chute m’a en effet fait tomber en avant, assez violemment certes, mais pas au point de soupçonner une fracture. Même les violentes douleurs que je ressentais, je les mettais sur le compte des contusions, et alors que j’attendais le bilan d’interprétation de mes radios aux urgences (à la clinique Saint-Jean Languedoc), je m’imaginais dans le pire des cas avec une entorse. Quelle ne fut donc pas ma surprise d’apprendre cette nouvelle (et visiblement, le médecin fut lui aussi étonné par cette double fracture ; il ne sera pas le seul). Une mésaventure n’arrivant jamais seule, j’ai le soir même regagné les urgences (à l’hôpital Purpan cette fois-ci), car mon genou gauche avait doublé de volume à vue d’œil ! Heureusement, pas de fracture cette fois-ci, mais un énorme épanchement qui n’est toujours pas résorbé.

Sans être dramatique, cette mésaventure n’en reste pas moins frustrante à plus d’un titre, à cause du handicap dû à la double fracture d’une part, et l’arrêt de toute activité sportive jusqu’à nouvel ordre d’autre part (au moins 3 mois off avant d’envisager un nouveau match de tennis). Je retrouve actuellement une certaine mobilité (mais je galère en extension totale des avant-bras) mais impossible de porter quoi que ce soit d’à peine lourd, ni de conduire. En terme de douleurs, si je ne mets pas mes coudes à contribution, je ressens malgré tout des tiraillements très désagréables qui s’amplifient la nuit venue. Je me dis pour me consoler que c’est la formation du cal osseux qui engendre ces désagréments supplémentaires. Et effectivement, ce cal commence déjà à se former suite à ma première radio de contrôle effectuée hier. Du coup, ma première séance de kinésithérapie a eu lieu aujourd’hui, neuf autres doivent suivre.

Le côté positif de toute cette histoire, ce sont finalement tous les petits mots gentils que j’ai reçus, les coups de téléphones et les visites ! Ça fait chaud au cœur d’être entouré dans ces cas là car mon moral les deux premiers jours était bien bas (il ne partait pas de très  haut de toute façon, ce qui n’aide pas !). J’ai vraiment été agréablement surpris par tous les témoignages de sympathie que j’ai reçus d’une manière ou d’une autre. Je prends désormais mon mal en patience, avec la ferme volonté de retrouver mon intégrité physique le plus vite possible (pour les coudes, cela semble vouloir dire retrouver sa mobilité initiale, i.e. pas de perte d’amplitude des mouvements, c’est d’ailleurs pour ça que les coudes ne sont pas plâtrés). J’ai quelques challenges à plus ou moins long terme, puisqu’avant ma chute, j’envisageais sérieusement de m’engager sur le semi-marathon de Toulouse (après moult désistements de ma part les années précédentes), et par ailleurs, entre un vol vers les Pays-Bas prévu le 21 mai, et un aménagement/déménagement dans les prochains mois peut-être, j’ai intérêt à être à 100 % de mes moyens. Sans compter quelques soucis administratifs à résoudre ainsi qu’un retour au boulot qui risque fort être sport je pense !

Still blogging

It’s been quite a few weeks since my last post. It’s not as if nothing interesting happened to me but as far as I can tell, I had neither the time, nor the heart to publish things here. Really, life seems so complicated at times ! But I am quite happy to handle things way better than a few years earlier, even if it’s not perfect yet !

For instance, I just don’t know how I miss so many movies I put on my watch-list, but who will remain to be seen for months and months because I wait until the last moment and of course, it’s always too late !

Well, on Sunday, I succeeded, at least partially, since I ended up at the theatre, but did not see exactly my first choice ! And so I depressed completely watching Still Alice, story of…Alice, diagnosed with early Alzheimer’s disease. There are better things to put you in a good mood 🙂 . Such as an excellent brunch taken this Sunday at Bapz, a place which must be known to lots of Toulouse citizens I guess.

Next Saturday, I am also supposed to participate in the « Timbrés de l’orthographe » regional final, at Université Capitole 1, but I still don’t know if I’ll find the motivation to go. It’s not as if I had the slightest chance to make it to the national final !

Anyway, I think this weekend I will bring back from my parents house the new Ishiguro novel, The Buried Giant. I ordered it on Amazon, and I can’t wait to start it, Ishiguro being one of my all-time favourite writers ! And as for why the book is at my parents house instead of mine, it’s simple, I never changed my address when ordering things from Amazon. Laziness…

Merci pour ce moment H3N2

Alors que je pensais finir la fameuse chambre chez mes parents, écrire, développer des pellicules (si vous avez moins de 20 ans, cette expression doit vous sembler bien opaque), aller au cinéma (j’ai juste raté un nombre monstrueux de films ces dernières semaines/mois et je n’en suis pas fier alors qu’il fut un temps où je considérais que les gens qui ne fréquentaient pas les salles obscures s’apparentaient à des OVNIS), alors que je pensais à m’engager dans toutes ces activités palpitantes disais-je, influenza a décidé de balayer toutes ces bonnes résolutions via une attaque virale particulièrement élaborée qui n’a laissé que peu de répit à mes bronches jusqu’à ces derniers jours ! Bon, c’est franchement chiant ce que je raconte là (d’ailleurs sérieusement, pourquoi lisez-vous ça ?), alors la seule chose intéressante que je puisse raconter à propos de la grippe, c’est qu’il existe un site très sympa que je connais depuis quelques années, le réseau Sentinelles, qui répertorie l’activité grippale (mais aussi la diarrhée – bon appétit – et la varicelle) en France, ainsi que par région, ce qui permet de détecter les pics d’épidémie en suivant l’évolution d’une semaine à l’autre des cas reportés par les médecins du réseau, mais aussi d’une année sur l’autre de constater la virulence de tel ou tel virus. On peut par exemple se rendre compte de l’impact important de la grippe cette année (un bon facteur 5 au dessus du seuil épidémique en semaine 6) tandis que la « gastro » est relativement inoffensive ! Ce genre de site, ça satisfait particulièrement mon moi geek médical, une sorte de double évanescent de mon moi geek tout court, qui s’est sûrement créée au lycée lorsque j’aspirais à devenir neurologue et qui n’a pas été bien nettoyé du registre !

Bon, heureusement, mon père n’a pas chômé, lui, et il s’est amusé à tapisser la chambre (on avait finit le parquet il y a deux semaines). Je crois que l’intissé ne l’a pas vraiment convaincu, peut-être parce que le papier en question était très fin et difficilement manipulable. J’ai désormais la tâche de trouver un nouveau moniteur à mes parents, car leur 15 pouces commence à faire trop petit à leur goût (bon en fait surtout à mon goût, mais j’ai désormais les pleins pouvoirs en terme d’informatique chez mes parents et j’arrive à leur faire croire par un habile règne de la terreur que mes goûts sont leurs goûts 🙂 ), donc je recherche un 22 pouces sympa (sympa veut dire pas trop cher, avec des prises VGA, DVI et/ou DisplayPort, voire du HDMI, et nul besoin d’enceintes intégrées). J’hésite entre quelques modèles. Il faut encore que je réfléchisse !

Enfin, alors que j’ai entamé pour la nième fois l’écriture de la baby whale story, et que je m’oriente cette fois-ci sur un genre totalement absurde, Sam m’a donné l’idée de créer une rubrique « Walter Mitty », rubrique des rêves absurdes, idées absurdes, et autres péripéties absurdes qui pourraient me traverser l’esprit ou pourquoi pas m’arriver dans notre réalité ! Ça ma l’air d’être une très bonne initiative. Mais encore faut-il que je finisse cette satanée histoire !! Sinon, cette rubrique est partie pour rester dans les limbes des bonnes idées qui jalonnent ma vie de temps à autre !

Travaux pratiques

Ce week-end, j’ai repris pour la énième fois les travaux entamés dans mon ancienne chambre chez mes parents, pour essayer une fois pour toute de la remettre à neuf. Le décès de mon grand-père l’été dernier avait temporairement stoppé mon élan bricoleur. Fort heureusement, le plus dur avait selon moi été effectué (i.e. un bien peu gratifiant décollage de moquette). Ces deux jours nous ont donc permis (à mon père et à moi-même) de repeindre le plafond de la chambre. Sur le papier, ça n’est pas très difficile, mais la chambre est sous toit, en pentes, et deux poutres porteuses parcourent le plafond. Il a donc fallu faire attention à ne pas tacher les poutres, et pour le parcours de la surface, superposition de figures géométriques plus ou moins facilement atteignables, il a fallu s’armer de patience. Mais bon, ça y est, c’est fait. Je note d’ailleurs que cette peinture achetée il y a presque quatre années était encore largement potable ! Je ne sais pas quelle est la date de péremption des différents types de peintures que l’on trouve pour les gros travaux d’aménagement intérieur du type mur et plafond, mais j’imagine que tant que le pot n’a pas été ouvert, il y a une bonne marge. Hmm, d’ailleurs, qu’est-ce qu’une peinture périmée ?

Prochaine étape, la pose du parquet, dès le week-end prochain je pense. Cette étape sera bien plus rigolote et donnera enfin une très bonne tendance du nouveau cachet de cette chambre (que je souhaite transformer en un jolie bureau pour mes parents – mais j’y garderai accessoirement mon lit 😉 ).

Les belles gosses

Ceci n’est pas le titre d’un nouveau film à ma connaissance (mainstream ou coquin). Mais j’ai eu envie à la suite d’une conversation de prendre un peu de recul et de lister des femmes célèbres (principalement exclusivement des actrices) pour lesquelles j’ai eu ou j’ai actuellement le béguin (je peux bien commencer l’année 2015 par un billet totalement inutile en lieu et place des traditionnels vœux !).

Je crois que tout en haut de la liste, je devrais citer Natalie Portman, même si elle ne me plaît plus tant que ça désormais (non, elle n’a pas refusé ma demande en mariage puisque je n’ai jamais tenté ma chance 😉 ), mais je devrais la citer disais-je car il s’agit de mon vrai premier fantasme d’adolescent ! Dans mon panier à fantasmes, je peux ensuite citer en vrac : Emma Stone, Gemma Arterton, Gina Carano, Taissa Farmiga, Emily Blunt, Emilia Clarke, Shailene Woodley, Olivia Wilde, Olga Kurilenko, Ellen Page et sûrement quelques autres que je n’ai pas en tête au moment où j’écris ces lignes.

Je ne crois pas avoir jamais eu de critères absolus très définis du genre blonde à forte poitrine (le pendant du très cliché « grand brun aux yeux bleus » je suppose), mais une chose est sûre, je suis assez rebuté d’une part par les femmes qui ne dégagent qu’un froid polaire autour d’elles, aussi belles soient-elles au demeurant – et là je pense à des actrices très connues du genre Charlize Theron, Monica Belluci, ou encore Emma Watson – et d’autre part par les femmes qui m’apparaissent vulgaires ou trop éloignées en tout cas du concept de femme classe que mon inconscient a développé (et dont Audrey Hepburn représente la quintessence) – et j’y caserai donc des Scarlett Johansson et des Megan Fox.

Maintenant, si quelqu’un peut en déduire ma femme idéale à partir de ce panel, qu’il me fasse signe, mais je lui souhaite surtout bon courage 🙂 .

P.S : une prochaine fois, je ferai mon classement des hommes que je préfère. Je suis hétéro mais ça ne m’empêche pas de trouver des mecs beaux 😉

Désimlockage (enfin) effectué

Je ne parle pas ici de mon téléphone actuel, désimlocké depuis la fin d’année 2011, mais de son prédécesseur, mon fidèle petit Sagem MyX-5m. Un petit retour en arrière pas du tout passionnant s’impose pour savoir comment j’en suis arrivé à m’arracher les cheveux pour trouver une solution au désimlockage du MyX-5m.

A partir du moment où mes parents m’ont offert mon premier téléphone portable en septembre 2001, j’ai été client chez Bouygues Telecom. J’y ai connu 3 téléphones aux destins différents. Mon premier mobile, un Siemens, est mort noyé en août 2003, et je n’ai pas du tout chercher à le désimlocker avant ce tragique épisode (peut-être cherchait-il un peu de fraîcheur en ce lointain été caniculaire ?). Je n’ai d’autant pas plus chercher à le désimlocker que j’étais alors totalement ignorant de cette pratique et de son utilité. Bref, toujours est-il que j’ai alors acheté ce fameux Sagem, qui m’aura rendu service à temps plein jusqu’en juin 2011. A ce moment là, j’avais récupéré depuis quelques mois auprès de mon opérateur le numéro de désimlockage du portable puisque je songeais alors à passer chez Free qui allait apparaître sur le marché en début d’année 2012. Comme un idiot, je n’ai pas profité d’avoir le numéro en avance de phase pour effectuer la manip de désimlockage une fois pour toute (alors que ce n’était pas faute d’avoir de nombreuses cartes sim Orange ou SFR qui circulaient dans mon entourage).

Bref, en juin 2011, j’ai franchi un pas supplémentaire dans mon aventure si palpitante en achetant un Samsung Galaxy S2 (GT-I9100), en profitant notamment des 10 milliards de points cumulés chez Bouygues en une dizaine d’années. Deux points importants à noter : j’ai pris la décision à ce moment là de conserver mon Sagem en back-up et j’ai attendu la fin d’année pour récupérer le numéro de désimlockage du Samsung. Ce qui nous amène, non pas en début d’année 2012, mais en début d’année 2013 puisque j’ai encore procrastiné une année entière avant de me résoudre à quitter Bouygues pour Free (motivé par un épisode désagréable qui a eu lieu début janvier 2013, à savoir une carte sim totalement bloquée à l’étranger et plus précisément aux Pays-Bas, blocage qui était vraisemblablement dû au fait que j’avais eu une facture anormalement élevée en mars 2012 lors de mon voyage en Australie, et bien sûr Bouygues n’a pas jugé bon de me tenir informé de ce léger blocage, soi-disant pour mon bien, le blocage, pas la non-divulgation d’information).

Vous suivez toujours ? En ce début d’année 2013 disais-je, j’ai donc effectué la portabilité de mon numéro vers Free et j’ai pris mes cliques et mes claques. J’ai pu sans problème désimlocker mon téléphone et la vie a suivi son cours. Jusqu’au moment où j’ai décidé, après quelques mois passer à découvrir les joies d’un smartphone, que je pourrais peut-être songer à m’occuper de mon petit Sagem qui dormait tranquillement dans un tiroir. Et c’est là que les ennuis ont commencé. Puisque je me suis alors rendu compte que j’avais totalement oublié de le désimlocker. Bon, pas de panique me disais-je, j’avais récupéré le numéro après tout. Sauf qu’il n’y avait pas moyen que je mette la main dessus. Arrive alors un cycle qui a duré de longs mois, même si j’avoue que je ne fus pas particulièrement persévérant, au cours duquel je me disais qu’il fallait que je récupère ce satané numéro. Téléphoner à Bouygues, j’ai vite constaté que c’était une bien mauvaise idée lorsque je suis tombé sur des gens qui me ressortaient le même refrain (vous n’êtes plus client ? Bye !). J’ai bien posté un message sur le forum (le lien est ici). Et comme vous pouvez le constater, ce lien a été effacé deux semaines après sa publication en gros. Des amis ou de la famille chez Bouygues qui pourraient récupérer le numéro en question ? LA solution qui me paraissait évidente, sauf que visiblement, je suis entouré de gens qui fréquentent tous les opérateurs du monde, sauf Bouygues bien évidemment. Je suis bien sûr passé en mode bidouille. Malheureusement, j’ai bien vite perdu espoir, et pourtant ce n’est pas faute d’avoir cherché. En gros, la solution de dernier recours consistait (de ce que je comprenais) à me munir d’un câble data Sagem (avec d’un côté la fiche propriétaire du mobile, et de l’autre une toute bête fiche USB). Mais je n’ai jamais pu mettre la main sur un tel câble. J’ai trouvé de soi-disant vendeurs sur certains sites, mais les prix étaient exorbitants, j’ai donc vite laissé tomber. D’autant plus que ce simple câble ne suffit pas. Là je n’ai jamais vraiment compris, mais il faut utiliser un logiciel qui va alors plus ou moins « découvrir » le code de désimlockage en espionnant certaines entrées du firmware du téléphone (explication totalement pipeau de ma part à mon avis).

Tout ça pour dire que j’ai profité de mes cours d’allemand (oui oui), pour me rendre ce midi dans un petit magasin de bidouilleurs de téléphones en centre-ville qui ont plus ou moins effectué les opérations que je viens de décrire (j’ai rapidement demandé au gars qui m’a rendu le téléphone comment il avait procédé et ça collait avec l’idée que je me faisais de cette méthode). Toute ceci m’a quand même coûté 2 heures de mon temps (chiffré une heure au départ…) et 15€. Bon c’est toujours moins cher que la plupart des téléphones basiques qu’on trouve sur le marché. Et puis, ça m’aurait franchement énervé de devoir jeter ce téléphone quand même. L’affaire est donc résolu !

Complainte du soir

Peut-être devrais-je dire complainte du pauvre sportif amateur pas si sportif que ça et qui voulait faire le plein de sport pour se sentir bien dans son corps (et dans sa tête). Le problème, c’est que mon corps n’est pas content ! Bon j’exagère, mais ce blog doit aussi me servir à me plaindre de temps à autre ! En tout cas, j’ai effectué hier pendant ma pause déjeuner ma deuxième séance d’escalade de ma vie (après une première qui avait eu lieu fin février), et le moins que je puisse dire, c’est que j’ai aujourd’hui plein de courbatures ! En particulier dans le dos. Pourtant, je fais du tennis régulièrement en ce moment (une fois par semaine) ainsi qu’un peu de course à pied, alors j’espérais naivement que j’encaisserais sans soucis cette petite séance. Visiblement, il y a certains muscles du dos qui ne travaillent pas beaucoup durant mes séances de tennis/footing. Néanmoins, je ne vais pas me laisser abattre ! Je viens de prendre une carte 10 séances chez Altissimo afin d’améliorer un peu ma grimpette (ça faisait partie de mes résolutions non résolues). En plus du tennis, du footing, et de mon badminton hebdomadaire à venir, je pense être plutôt blindé pour les semaines à venir ! Mon corps va t-il tenir le coup ? C’est la grande question de cette fin d’année 2014 assez chargée ! Ma cheville et mes genoux me laissent tranquille pour le moment alors je croise les doigts. Et puis de toute façon, la réponse viendra assez vite sur ce blog ! Et pour terminer sur une note positive, j’ai beau me plaindre, j’ai quand même la satisfaction d’avoir trouver la motivation et le temps pour pratiquer des sports  que j’aime (il n’y a jamais eu de doutes sur le tennis ni sur le badminton, l’escalade je ne demandais qu’à découvrir, et le footing c’était la grande interrogation) et j’en suis bien content. 🙂

Cours d’allemand

Ça y est ! J’ai enfin débuté mes cours d’allemand. Trois ans après avoir démarré mon apprentissage de la langue de manière quasi-autonome (merci Sam car finalement, c’est presque ton seul mariage qui m’a décidé à franchir le pas 😉 ), je bénéficie d’un cours officiel, réparti sur huit semaines à raison de 3 heures et demi tous les samedi matins. Ce cours d’allemand, je l’ai obtenu via une demande de DIF à mon boulot. Une demande qui m’a été accordé sans soucis. C’est ainsi l’institut Berlitz qui se charge de fournir la matière première (professeurs et salles principalement) mais aussi, à en croire ma prof (berlinoise si j’ai bien compris) la méthode, i.e. un apprentissage basé sur la pratique orale. Il s’agit donc d’écouter, et surtout de parler, mais en aucun cas il ne s’agit d’un cours formel de grammaire ou de vocabulaire et le but n’est donc pas de prendre de notes consciencieuses, mais plutôt d’acquérir à notre niveau des automatismes. C’est une méthode qui se prête bien à la taille du groupe, puisque nous sommes sept, répartis autour d’une petite table. L’an dernier, au moment de m’auto-évaluer, j’ai fait le choix de ne pas me mettre en grand débutant. Je pense que c’était la bonne décision. Car si je n’ai jusqu’à présent que très peu pratiqué mon allemand, j’arrive à le comprendre assez bien (au niveau qui nous est proposé) et je le lis déjà correctement. Si j’arrive à garder la motivation au delà de ces huit sessions, je pense qu’il serait judicieux pour ma progression de basculer en 2015 vers un cours qui cette fois-ci serait davantage théorique et axé sur les exercices écrits en tous genres. L’institut Goethe pourrait sans doute faire l’affaire mais je n’ai pas regardé en détail ce qu’ils proposent actuellement et mes souvenir d’il y a deux ans me font croire que les horaires de cours n’étaient pas très pratiques. Bref, chaque chose en son temps. C’est déjà une petite satisfaction quand je vois où se situait mon niveau d’allemand il y a trois années et quelques mois (passer du néant à un niveau A1/A2 pour citer les normes européennes, c’est forcément une progression infinie, quelle joie 🙂 ).

Buffet des 30 ans

Plutôt que de laisser la mélancolie et la crise de la trentaine m’envahir (bon OK, ça occupe tout de même une bonne partie de mes pensées actuelles), j’ai décidé d’organiser samedi dernier un petit buffet des 30 ans avec quelques bons amis/collègues/connaissances. Je m’y suis pris un peu au dernier moment, mais tout s’est bien passé. Au final, nous étions une quinzaine, mais c’était tout de même plus facile à gérer que lors de ma crémaillère au cours de laquelle j’avais le stress et l’obligation de faire rentrer tout le monde autour de ma table ! Point de contraintes de ce genre ici, tout le monde pouvait vagabonder à sa guise dans mon petit appartement pas si petit que ça finalement ! Je suis au final très content de cette petite soirée. Et pour ne rien gâcher, j’ai eu le plaisir de recevoir des compliments sur l’aménagement et la décoration de mon appartement ainsi que l’agréable surprise de découvrir quelques cadeaux très sympas, dont un petit minion qui se fait tout de même un peu attendre (promis, je le prendrai en photo lorsqu’il arrive 🙂 ).

La boule à zéro, ou presque

Il y a deux jours de cela, vers 21h00, j’ai été pris d’un coup de folie dans ma salle de bain. J’ai en effet acheté une tondeuse à cheveux il y a plusieurs mois dans l’optique de, euh…, me raser les cheveux assez courts je suppose, mais finalement, je n’avais jamais sauté le pas. Voilà qui est chose faite, de manière vraiment radicale, puisque j’ai laissé en gros 3 mm sur mon cuir chevelu. Autant dire que je n’y suis pas allé step by step. Étonnamment, il ne m’a pas fallu bien longtemps pour m’habituer à cette nouvelle coiffure ! J’avais peur d’apparaître vraiment super moche mais au final, je trouve que cela ne me va pas si mal, si ce n’est que ma peau du crane est vraiment trop blanche ! Il y a un petit côté « aventure » assez plaisant, qui consiste à redécouvrir son crâne finalement, pas seulement d’un point de vue « physique », encore qu’il est toujours amusant d’observer la forme de son crane, mais aussi d’un point de vue tactile. On ressent vraiment son cuir chevelu lorsque l’on passe sa main dessus. C’est une sensation dont je n’ai pas trop l’habitude pour ma part. Alors, évidemment, ce genre de coup de folie, on le fait plutôt au début de l’été, mais bon, le principe du coup de folie, c’est que c’est un peu fou et qu’on ne sait pas très bien quand il va frapper ! Le plus rigolo, c’est bien sûr le lendemain, lorsqu’au boulot, les gens vous aperçoivent pour la première fois la boule presque à zéro. En fait, la plupart des gens ont cru à un pari perdu, car personne visiblement ne s’est résolu à me croire assez insensé pour me raser la tête sur un coup de tête 😉 Et pourtant oui oui c’est bien ce que j’ai fait. Alors bien sûr, la trentaine passe par là, associée à plein d’autres choses, du coup est-ce une remise en question, une sorte d’auto-mutilation en douceur ? Peut-être. Je n’en sais trop rien à vrai dire. La seule chose que je sais, c’est que la seule personne qu’il va falloir préparer psychologiquement au choc, c’est ma mère !