Le mois d’avril est décidément apte à stimuler ma fibre poétique. Après un essai qui date d’il y a déjà un an (!), j’exprime de manière moins mélancolique que dans mon précédent poème (dont je n’ai toujours pas trouvé de titre convenable) l’arrivée du printemps.
Poème très court, qui s’inspire des haikus japonais dans sa brièveté, mais qui n’en respecte bien sûr pas les règles. Si quelqu’un souhaite traduire celui-ci dans la langue de Chihiro, qu’il n’hésite pas. Pour la petite histoire, c’est a posteriori que je me rends compte que le haiku est le modèle adapté à mon poème, car à la base, ce dernier est la traduction d’un poème russe composé par moi-même dans une langue dont je ne maîtrise que deux mots (Da, Niet), poème qui me fut inspiré non par la vue d’une fleur, mais par un Colonel (citron vert…et Vodka). Vous n’avez rien suivi de mes explications ? N’ayez crainte, c’est tout à fait normal.
Place au poème :