- Dotclear est un moteur de blog assez sympa, mais en vérité, j’aimerais lui être infidèle pour passer à WordPress, qui est à la fois beaucoup, beaucoup plus puissant et beaucoup plus actif. Le problème, c’est que migrer la base de donnée des articles de ce blog de Dotclear à WordPress est très loin d’être évident d’après toutes les expériences qui ont pu être relaté ici et là 🙁 . Bref, difficile de savoir quand j’effectuerai la migration.
- Oui, j’ai promis à mon retour d’Australie (et même avant ^^) le récit du voyage antipodique ! Et bien, j’y travaille figurez-vous ! Mais ça prend du temps, et comme je n’ai pas trop de temps pour moi en ce moment, ça avance lentement !
- En parlant de voyages, j’ai une amie qui vient de partir pour un tour du monde avec son copain ! Bonne chance et bonne route (veinards ouais !^^). En prime, ils ont décidé de faire partager leurs aventures à travers un blog ! J’apprends ainsi qu’ils seront à Sydney le 18 octobre par exemple ! Ça me permettra de les tracer et de les croiser quelque part dans le monde à l’improviste (quoiqu’ils n’ont pas l’air de passer par l’Afrique, dommage, car la Tanzanie est tout en haut de ma liste !).
- J’apprends à me servir d’Inkscape pour éditer des images au format SVG et m’en servir peut-être sur le site web.
- En parlant du site web, je continue à le modifier par petites touches. Je suis par ailleurs en train d’apprendre le php pour voir si je peux rendre le site un peu plus dynamique, et pour ma culture personnelle aussi.
Archives de catégorie : Ego
Playing the piano like a yo-yo
Today is the first day I’ve put my fingers onto my keyboard since a month and a half. Indeed, the last time I played the piano was right before heading to Australia. Will it help me improve my skills ? I doubt it, but I must say that it did not prevent me from learning a few more things since September 2011. More importantly, it was not my first break of the year. Indeed, I almost did not play the piano for 5 or 6 weeks around December and January. Perhaps I need these little breaks. I remember that I improved a lot after that in February and March, learning « Comptine d’un autre été » by Yann Tiersen. And now that the piano year is close to its end (piano year being the 10 months where I’ve got kind of a teacher to help me), I’ve got to motivate myself in order to finish learning the piece of music I’ve been working on for two or three lessons. The song ? « La valse d’Amélie », again by Yann Tiersen. Yeah, I love his compositions and they are perfect for a beginner like me. But don’t worry. I am not playing only Tiersen’s songs. I learnt also this year a very nice composition by Bach (who is this guy ? 😉 ) called « Prelude n°1 in C-major » from the « Well-tempered Clavier ». By the way, I learnt a few amazing things about Bach musical skills in Hofstadters book, « Godel, Escher, Bach » which is worth reading for everyone ! Next piece of music for the summer ? Adele’s song « Someone like you ».
Australie
Un petit message (un tweet ?) pour vous prévenir que je pars en Australie aujourd’hui et que je ne serai pas particulièrement joignable les deux prochaines semaines !
Pas d’activité sur le blog dans les 15 prochains jours mais je me rattraperai à mon retour, entre mon petit journal de bord ou dans un autre registre, l’installation d’Android 4.0.3 sur mon Samsung Galaxy S2.
Mince, j’ai dépassé les 140 caractères, ce n’est plus un tweet ^^
Boulimie de lectures
Depuis l’été dernier, j’ai été pris d’une boulimie de lectures que je ne suis pas certain d’avoir déjà connu dans ma prime jeunesse (disons à l’adolescence !). J’ai depuis toujours été un grand lecteur, ou à tout le moins un amoureux des livres. Depuis tout jeune, j’ai acquis le goût de la lecture, et il ne m’a jamais quitté. Cela ne veut pas dire que j’ai passé ma jeunesse le nez dans les bouquins (quoique, comment pourrais-je expliquer ma myopie si ce n’est par une surdose de lecture ? :-)). Il est clair en tout cas que la période de ma vie où j’ai le moins lu, c’est durant mes études. Pas forcément le temps (ô joie des révisions et des partiels) ni l’envie (après avoir passé la semaine et une grande partie du week end plongé dans mes cours, j’avais plutôt l’envie de m’aérer l’esprit). Mais depuis que je bosse, le temps et l’envie sont revenus ; au début sans se presser, et puis le tempo s’est accéléré, au point l’an dernier de se transformer en ce que j’ai déjà nommé une boulimie. Ce stade est bien sûr relatif à chaque personne. Pour moi, il s’est traduit en quelques mois par la lecture des livres suivants :
– Auprès de moi toujours, de Kazuo Ishiguro,
– Le joueur, de Fedor Dostoïevski
– Le vieil homme et la mer, d’Ernest Hemingway
– Le soleil se lève aussi, d’Ernest Hemingway
– Trois femmes puissantes, de Marie Ndiaye
– Les pâturages du ciel, de John Steinbeck
– Anna Karénine, de Léon Tolstoï
– An artist of the floating world, de Kazuo Ishiguro
– The remains of the day, de Kazuo Ishiguro
– Lolita, de Vladimir Nabokov
– The sense of an ending, de Julian Barnes
– Nocturnes, de Kazuo Ishiguro
– When we were orphans, de Kazuo Ishiguro
– Cien anos de soledad, de Gabriel Garcia Marquez
– Gödel, Escher, Bach: an Eternal Golden Braid, de Douglas Hofstadter
– Manuscrit trouvé à Saragosse (version de 1810), de Jean Potocki (en cours).
Je n’ose pas encore donné les titres des bouquins qui vont suivre, mais ils sont déjà prêts à être avalé. Concernant les bouquins déjà lus, on peut constater une certaine diversité, aussi bien d’auteur que d’époque, si ce n’est la récurrence de Kazuo Ishiguro. Écrivain anglais né au Japon, et qui écrit en anglais (hormis Auprès de moi toujours, j’ai lu ses œuvres en anglais), je ne peux que le conseiller à qui ne le connaît pas encore. Il fait désormais partie de la liste très restreinte de mes auteurs préférés, en compagnie de J.R.R. Tolkien et d’Oscar Wilde.
Bon, je crois que je vais aller lire un peu avant d’aller faire dodo.
De l’intérêt de parler plein de langues pour faire des économies !
Je commence par une petite digression ; il ne faut pas prendre ce titre trop au sérieux ! Non, je n’ai pas trouvé la solution ultime à la sauvegarde de notre pouvoir d’achat en ces temps de crise ! Quoique je devrais peut-être trouver 500 signatures de gentils maires prêts à apporter leur soutien à ma candidature à la prochaine élection présidentielle. Mon credo sera :
Fais des économies, deviens polyglotte !
Fin de la digression !
Mais qu’est-ce que je veux donc bien vouloir dire par ce titre obscur ? Quid du rapport entre langues et économies (d’argent s’entend parce qu’en termes d’effort, ça peut-être autre chose ^^).
En fait, pour des gens qui comme moi aiment lire – et en ce moment je lis beaucoup, même si je n’ai encore jamais parlé de mes lectures sur ce blog – et qui adorent cliquer sur « ajouter au panier » sur Amazon, j’ai remarqué que beaucoup de bouquins qui peuvent valoir relativement cher en français voient souvent leur prix divisé par 2, voire par 3 en le commandant en version originale (principalement anglais et espagnol en ce qui me concerne pour le moment, même si je ne désespère pas de pouvoir bientôt lire en allemand, voire en russe :-)).
L’exemple qui m’a le plus frappé récemment lors d’une de mes frénésies d’achats de bouquins concerne le fameux livre de Douglas Hofstadter « Gödel, Escher, Bach » (qui est une perle soit dit en passant et que je conseille à tout le monde et en particulier à tout ceux qui aiment mélanger philosophie, sciences, maths, musique, art, informatique etc… ! <Ajout> -2012-02-01- Même si le propos du livre n’est pas de mélanger tous ces thèmes sans fil conducteur, mais bien au contraire de dégager de tous ces domaines certains points communs qui peuvent donner une idée de comment un système « inanimé » peut s’animer/prendre conscience de lui-même selon certains schémas particuliers </Ajout>). En français, le bouquin vaut environ 45 € tandis qu’en VO (i.e. en américain), le prix tombe à…15 € !!! Qu’à cela ne tienne, autant le lire en VO ! Je ne vais pas faire une liste exhaustive des bouquins que j’ai passés à la moulinette. Toujours est-il que quand on a la chance de pouvoir lire dans plusieurs langues, ça vaut le coup !
Bon, en fait, ce post est surtout l’occasion pour moi d’inviter d’éventuels lecteurs récalcitrants à l’apprentissage de langues étrangères à leur fournir une motivation supplémentaire – qui se rajoutent notamment à la principale qui est pour moi de communiquer avec tellement plus de gens dans le monde.
Enfin, si quelqu’un sait pourquoi on peut trouver de telles différences de prix sur certains bouquins, qu’il n’hésite pas à m’éclairer. 🙂
Episode 0 – Pilot
Comme cela ne vous aura certainement pas échappé, nous sommes cette année en 2009. Pour beaucoup d’entre nous, ce nombre ne représente pas grand chose. Je suis pourtant convaincu pour ma part que ce dernier recèle de multitudes de propriétés plus intéressantes les unes que les autres, et je le dis sans ironie. Mais au-delà des chiffres et de toute arithmétique savante, ceux sont les événements que l’on a vécu, ceux que l’on a raté, les émotions qui nous ont transportés, les souvenirs que l’on a gravé, les liens que l’on a noués, ceux que l’on a défaits – en somme tous ces éléments qui font notre vie et la rende si belle à certains instants, et si triste et désespérante à d’autres moments – qui font ces douze mois, année après année. Certaines se révèlent plus marquantes que d’autres, et pour chaque individu, quelles qu’en soient les raisons, une année peut souvent se résumer à quelques faits, à quelques impressions qui resteront telle une marque indélébile dans le livre de nos vies.
Pourquoi faire un bilan de mon année 2009 me demanderez vous ? Celle-ci n’est même pas arrivée à son terme. Certes, mais d’une part mon intention n’est pas de faire un bilan de cette année, et d’autre part, en ce mois de septembre, on atteint déjà une période qui a souvent son importance et qui est en quelque sorte le déclencheur de ma réflexion. Personnellement, ce neuvième mois de l’année a toujours représenté deux faits majeurs et antagonistes, l’un attendu avec plaisir, l’autre souvent redouté. L’un des ces faits est mon anniversaire, l’autre est la rentrée des classes, que j’entends ici au sens assez large. Depuis mes trois ans, j’ai donc toujours vécu au mois de septembre une nouvelle année « scolaire ». Les guillemets ont ici leur place, puisque j’inclus la plupart des cycles que peut vivre un jeune, des premiers pas à la maternelle et de l’enfance au primaire, à l’adolescence au collège et au lycée, pour finir par les études, plus ou moins longues et plus ou moins couronnées de succès selon nos choix, que l’on soit à l’université, en grandes écoles, ou dans de multiples autres types d’établissements. Je n’ai bien sûr pas vécu toutes ces rentrées de la même manière. Mais il est vrai que l’appréhension ne s’est réellement estompée, sans jamais tout à fait disparaître, qu’à partir du lycée.
En ce mois de septembre, je n’ai pourtant pas connu cette fameuse rentrée, rituel immuable depuis 1987. En ce mois de septembre, j’ai eu 25 ans, ce qui me fait dire que j’entre définitivement dans l’âge adulte, au moins d’un point de vue légal, puisque la société ne manquera pas de me le rappeler pour de multiples raisons, les premières d’entre elles se révélant être les fameuses réductions étudiantes en tous genres auxquelles je n’aurai bientôt plus droit. En ce mois de septembre, je suis déjà rentré dans la vie active. Mon futur est-il réglé pour autant ? Si je compare ma situation à celles d’autres jeunes de mon âge que j’ai l’occasion de côtoyer, je dirai qu’en apparences, ma situation n’est en moyenne ni plus complexe, ni plus simple. Il faut cependant creuser au-delà de ces apparences. Alors, cette situation me semble différente, car je parais appréhendé la vie et mes attentes d’une manière différente du jeune lambda. L’avenir qui se profile devant mes yeux est je peux bien l’avouer un vaste chantier qui n’est pas près d’être déblayé ! Je considère cette nouvelle entreprise comme un défi et j’ai bien conscience des luttes que je vais devoir livrer, aussi bien envers le monde au sens large qu’envers moi-même.
Pourtant, en ce mois de septembre, c’est davantage mon passé que mon avenir que j’ai envie d’évoquer. 25 ans, la fin des études, un boulot, autant d’arguments de base qui me suggèrent que le moment n’est pas si mal choisi afin de tirer un bilan des années passées. En outre, cette petite introspection ne sera peut-être pas inutile à l’aube d’une vie différente – que je considère moins comme une rupture que comme un renouvellement. Il est justement bien trop tôt pour trouver les termes ad hoc. Aussi, un retour en arrière paraît bien plus adéquat. Mais par où commencer ? Ou plutôt, quand commencer ? Quels événements raconter ? Lesquels méritent d’être détaillés lorsque d’autres seront tout simplement passés sous silence ? Enfin, comment narrer tout ce bouillon d’instantanés ? J’ai d’abord pensé aux thématiques, le boulot, les amis, les amours… Mais ranger des situations dans des thématiques comme on range les gens dans des petites cases me paraît simpliste et ô combien réducteur. D’autant plus que chaque thématique nourri et se nourri des autres à chaque instant de nos vies. Je préfère m’en remettre à la plus simple et non moins efficace narration chronologique. Pertinence et sobriété sont des valeurs auxquelles j’attache beaucoup d’importance, et je veux tâcher de les associer à travers mes souvenirs. Ne reste désormais plus qu’à mettre forme tout ceci, ce qui risque de prendre une nouvelle fois un temps…certain !
Faits et gestes
Désolé d’avoir été muet depuis un mois ! Le temps passe vite, et mes fidèles lecteurs me pressent pour que je sorte enfin de mes tiroirs poussiéreux mes fameux billets que je leur promets depuis belle lurette ! Je suis dans le regret de vous dire que ce ne sera malheureusement pas pour ce soir ! Je m’égare, je m’éparpille, j’ai un millier d’idées, et au final, plein de gribouillis (plutôt informatiques les gribouillis) pour la plupart à l’état larvaire ! Le peu de ce qui est a priori publiable selon mes normes ne me satisfait pas néanmoins ! J’ai bien conscience de m’éloigner quelque peu du concept de speedwriting ! Mais ce n’est qu’un problème de terminologie, car je pourrais sans problème les renommer verylongwriting ! Tout n’est cependant pas si catastrophique, puisque j’applique tout de même, avec plus ou moins de rigueur j’en conviens, un principe qu’on m’a donné, selon lequel il faut toujours écrire, même quelques lignes, peu importe l’inspiration ! C’est en forgeant que l’on devient forgeron, et je veux bien croire que c’est en écrivant que l’on devient écrivain ! J’enfonce des portes ouvertes je sais 😉 Il faut cependant avoir à l’esprit que j’essaie de garder un minimum de rigueur et de qualité dans les écrits que je publie sur ce blog, aussi, je ne peux raisonnablement pas publier tout ce qui me passe par l’esprit que j’ai fort torturé, surtout en ce moment ^^ L’envie est de toute façon bien là, et j’espère que dans peu de temps, toute cette frustration qui m’envahit saura se libérer et produire de très beaux billets !
Instituteur…
…de billes.
Instituteur de billes ? So what ? Et bien, figurez-vous que ce métier est le premier métier que j’ai rêvé de faire dans ma vie. Je devais être en CP je pense quand j’ai décidé de prendre mon avenir en main.^^ Ce qui explique notamment pourquoi ce métier ne figure pas dans un bon guide ONISEP. Je vous assure que vous pouvez chercher, vous ne trouverez aucune information sur le sujet. Désespérant. Surtout quand on pense aux pauvres gamins d’aujourd’hui qui rêvent à leur tour de ce métier. Quoique mon ego serait satisfait d’apprendre que je suis le seul à avoir pensé à ce métier dans ma prime jeunesse.
Bref, tout ça pour dire quoi ? Et bien pas grand chose, si ce n’est que c’est la troisième entrée de ce blog (applause), et que la recherche d’un métier est d’une certaine manière toujours d’actualité en ce qui me concerne, longtemps après ma première vocation. Peut-être aurai-je l’occasion d’approfondir le sujet dans une prochaine entrée.