Cannelés

Suite de mes expériences culinaires ! J’ai cet hiver tenté de m’attaquer aux fameux cannelés (de Bordeaux, mais y en a t-il d’ailleurs ?) que l’on nous vend en ville à prix d’or (à Toulouse, c’est un fait 🙁 ). En tout cas, l’expérience s’est révélée très satisfaisante. D’une part, les cannelés étaient comestibles et même bons, et d’autre part, c’est facile à faire contrairement à ce que je m’imaginais.

J’en profite donc pour partager ici la petite recette (parmi une dizaine) que j’ai fini par adopter !

A la louche, voici les ingrédients dont nous avons besoin :

– 1 gousse de vanille,

– 50 cl de lait,

– 2 œufs et un jaune,

– 225 g de sucre poudre,

– 125 g de farine,

– des moules à cannelés en silicone, ça évite de les beurrer,

– du rhum (j’ai eu la main lourde 🙂 ).

Premièrement, on vient fendiller et gratter la gousse de vanille (si elle vient de la Réunion, c’est mieux 🙂 ). On fait bouillir le lait avec les graines et la gousse et on garde alors hors du feu pour tiédir le tout.

Puis, on bat les œufs dans un récipient et on verse le lait tiédi sans arrêter de battre. On ajoute alors le sucre, la farine et 5 litres de rhum 🙂 . Pfiouuu, quelle épreuve. On a droit comme la pâte à un repos bien mérité d’une trentaine de minute – à température ambiante pour la pâte, mais rien ne vous empêche de votre côté d’aller faire un tour dans votre sauna 🙂 .

Enfin, une fois le repos du guerrier consommé, on préchauffe son four à 200 °C environ. On remplit les moules aux 2/3 (croyez moi, faites le, j’ai été joueur au début, et les cannelés ne se sont pas fait prier pour rappeler qu’ils étaient en pleine croissance 😉 ). On fait cuire 45 minutes, on sort les moules, et on démoule quand le tout a refroidi.

Ma seul crainte, c’était d’arriver à respecter la propriété fondamentale du cannelé :

Propriété fondamentale du cannelé : le cannelé dot être croquant à l’extérieur, moelleux à l’intérieur.

J’ai le bonheur d’avoir a peu près réussi. Je ne sais pas si cela a joué, mais j’ai utilisé la combine suivante, à savoir placer les moules 30 minutes au congélateur avant de les remplir (donc juste avant de filer au sauna, vous, pas les moules). Le choc thermique qui s’en suit est censé rendre les cannelés plus croustillants à l’extérieur.

Pour finir, voilà une petite photo de mes premiers cannelés :

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En attendant le récit, quelques photos… (some photos from the Australian trip hereafter)

…pour faire patienter mes lecteurs qui doivent trépigner d’impatience. 🙂

Peut-être bien que je remettrai ça en forme plus tard, car balancer ces photos sur le blog en plein milieu d’un billet, ce n’est pas l’idéal. J’ai par ailleurs prévu de faire un album photo – qui sera du coup un mix récits-photos – mais publier un album photo sur le blog sera encore moins adapté donc désolé, vous  n’en profiterez pas à moins d’être dans la catégorie famille/amis !

Pour l’anecdote, j’ai pris plus de 1000 photos au cours de mon petit périple. Je suis totalement débutant en photographie, donc il ne faut pas s’attendre à des photos transcendantes, cependant, j’ai au moins la satisfaction d’avoir mis en œuvre quelles que soient les conditions dans lesquelles je me trouvées quelques principes de bases du style « la règle des tiers » ou bien encore « le photographe n’est pas figé, alors qu’il se torde dans tous les sens pour trouver le meilleur angle possible ». A mon retour, j’ai fait un tri de celles que j’aimais beaucoup pour une raison ou pour une autre. Libre à vous de vous faire votre propre jugement. En parcourant l’ensemble des clichés, j’ai pu me rendre compte de toutes les erreurs que j’ai pu commettre. A retenir pour la prochaine fois !

Bref, voici quelques petites photos de mon cru que j’aime beaucoup pour pleins de raisons différentes :

Romantism is for heavens:

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LITTLE MISS TALL:

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FRENCH IS CHEAP…:

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The Australian way of life:

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Sydney Sunset:

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The Olgas Sunset:

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Uluru/Bird Sunrise:

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Kings Canyon girl:

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The Garden of Eden:

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Unfriendly Kangaroo:

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Jack and Rose 🙂 :

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This is not what you think it is:

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Should this blog be bilingual ?

Good question ! Indeed, since a few weeks, I am more and more thinking about writing at list half of the articles on this blog in English. The writing of my english speedwritings convinced me that I was fully able to do so, even if not reaching the level that I achieve in French. However, I want people from all around the world to be able to read my blog, and writing things in English is a good step to succeed.  When I started this blog, this was rather the contrary ; i.e. I only wanted a few friends of mine to enjoy (or not^^) this blog. Now times have changed and I also changed a lot since a year or so. Well, I did not really changed, but my way of viewing life and what I wanted to do and try have changed. Since I discovered that I had no more to be ashamed of my sensitive personality, I started to write this thing that I had in mind for a long, long time. I even discovered the title during my trip in Australia. It appeared so obvious at the moment, but I am not yet unveiling it ! I don’t even know when I will be able to publish my writing but I promise, I won’t die before it’s done 😉

Hmm, this entry is rather confusing no ? Still an effect from the jet lag I suppose ^^ Well, to come back to the main subject, yes, I will write entries in English, and no, each entry won’t have a translation in French (resp. in English) if written in English (resp. in French).

Australie

Un petit message (un tweet ?) pour vous prévenir que je pars en Australie aujourd’hui et que je ne serai pas particulièrement joignable les deux prochaines semaines !
Pas d’activité sur le blog dans les 15 prochains jours mais je me rattraperai à mon retour, entre mon petit journal de bord ou dans un autre registre, l’installation d’Android 4.0.3 sur mon Samsung Galaxy S2.
Mince, j’ai dépassé les 140 caractères, ce n’est plus un tweet ^^

Boulimie de lectures

Depuis l’été dernier, j’ai été pris d’une boulimie de lectures que je ne suis pas certain d’avoir déjà connu dans ma prime jeunesse (disons à l’adolescence !). J’ai depuis toujours été un grand lecteur, ou à tout le moins un amoureux des livres. Depuis tout jeune, j’ai acquis le goût de la lecture, et il ne m’a jamais quitté. Cela ne veut pas dire que j’ai passé ma jeunesse le nez dans les bouquins (quoique, comment pourrais-je expliquer ma myopie si ce n’est par une surdose de lecture ? :-)). Il est clair en tout cas que la période de ma vie où j’ai le moins lu, c’est durant mes études. Pas forcément le temps (ô joie des révisions et des partiels) ni l’envie (après avoir passé la semaine et une grande partie du week end plongé dans mes cours, j’avais plutôt l’envie de m’aérer l’esprit). Mais depuis que je bosse, le temps et l’envie sont revenus ; au début sans se presser, et puis le tempo s’est accéléré, au point l’an dernier de se transformer en ce que j’ai déjà nommé une boulimie. Ce stade est bien sûr relatif à chaque personne. Pour moi, il s’est traduit en quelques mois par la lecture des livres suivants :

– Auprès de moi toujours, de Kazuo Ishiguro,

– Le joueur, de Fedor Dostoïevski

– Le vieil homme et la mer, d’Ernest Hemingway

– Le soleil se lève aussi, d’Ernest Hemingway

– Trois femmes puissantes, de Marie Ndiaye

– Les pâturages du ciel, de John Steinbeck

– Anna Karénine, de Léon Tolstoï

– An artist of the floating world, de Kazuo Ishiguro

– The remains of the day, de Kazuo Ishiguro

– Lolita, de Vladimir Nabokov

– The sense of an ending, de Julian Barnes

– Nocturnes, de Kazuo Ishiguro

– When we were orphans, de Kazuo Ishiguro

– Cien anos de soledad, de Gabriel Garcia Marquez

– Gödel, Escher, Bach: an Eternal Golden Braid, de Douglas Hofstadter

– Manuscrit trouvé à Saragosse (version de 1810), de Jean Potocki (en cours).

Je n’ose pas encore donné les titres des bouquins qui vont suivre, mais ils sont déjà prêts à être avalé. Concernant les bouquins déjà lus, on peut constater une certaine diversité, aussi bien d’auteur que d’époque, si ce n’est la récurrence de Kazuo Ishiguro. Écrivain anglais né au Japon, et qui écrit en anglais (hormis Auprès de moi toujours, j’ai lu ses œuvres en anglais), je ne peux que le conseiller à qui ne le connaît pas encore. Il fait désormais partie de la liste très restreinte de mes auteurs préférés, en compagnie de J.R.R. Tolkien et d’Oscar Wilde.

Bon, je crois que je vais aller lire un peu avant d’aller faire dodo.

Welcoming Newton and Fedora !

Newton est le petit nom de baptême du PC réformé que j’ai récupéré à l’œil via mon job ! Ce qui veut dire aussi que s’il ne marche pas, je ne peux pas venir me plaindre ^^. Cela fait tout de même plusieurs mois que je suis en possession de ce PC et que j’ai eu l’occasion de tester son bon fonctionnement en installant différentes distributions de Linux dessus. Mon intention en récupérant ce PC a toujours été d’installer Linux car je ne suis pas un fan des multiboots Windows/Linux. Bref, les deux distributions qui ont retenu mon attention sont Ubuntu d’un côté, et Fedora de l’autre. Autant dire que j’ai beaucoup hésité entre les deux et mon choix n’a surement pas été totalement objectif ; toujours est-il que j’ai opté pour Fedora 16 (Verne) en version 64-bit. Oui, en fait j’ai découvert que ce PC (un DELL Optiplex 745, deux processeurs 3GHz, 1Go de RAM, disque dur de 80 Go ^^) possède comme type de processeur un Intel® Pentium(R) D CPU 3.00GHz, compatible 64-bit. Qu’à cela ne tienne, j’ai décidé de tester la bête !

Vous allez me dire, si cela fait plusieurs mois que tu es en possession de ce PC, pourquoi nous en parles-tu maintenant ? Hmm, et bien en fait, cela ne fait que quelques jours que je suis dans la capacité d’accéder au net via ce PC. En effet, celui-ci ne possède pas de carte Wifi, ce qui me laissait quatre choix :

– acheter une carte Wifi

– acheter une clé usb Wifi

– acheter un câble réseau de 15 m de long !

– acheter un adaptateur CPL

Les deux premiers choix ont vite été éliminé puisque je ne souhaitais pas me connecter en Wifi, mais par du bon vieux filaire. Et d’ailleurs, les clés wifi que j’ai trouvées n’étaient jamais compatible Linux.

Le troisième choix a aussi été abandonné puisque je ne me voyais pas trop tirer un fil de 15 mètres de long entre deux pièces !

Reste donc l’adaptateur CPL qui consiste à brancher un adaptateur sur le secteur et à relier l’adaptateur au PC via un câble réseau. Il me fallait donc deux adaptateurs (un à connecter à la box, l’autre au PC). Et c’est là que j’ai mis du temps avant de faire mon choix ! Mais tout est bien qui finit bien. Je me suis finalement procuré un pack de deux CPL 200AV+ Nano de Netgear. Pour le moment ça marche très bien, je croise les doigts pour que cela dure !

Et quid des points positifs et des points négatifs de Fedora ? Pour le moment, je suis assez agréablement surpris par deux points, la rapidité de démarrage (environ 25 secondes à tout casser entre allumer l’ordinateur, taper son mot de passe, et rejoindre le net via Firefox), et la rapidité de fermeture. Bon cela dit, c’était peu ou prou la même chose sous Ubuntu. En revanche, rendre visible Newton à mon PC portable (Feynman, sous l’horreur Windows Vista), et à l’autre PC fixe (Einstein, sous Windows XP) est une autre paire de manches. Autant, il n’y avait strictement rien à faire sous Ubuntu, autant je m’arrache les cheveux sous Fedora. Mais bon, ça ne serait pas rigolo sans un peu de difficultés ^^. Et puis, j’ai aussi choisi Fedora car je n’aime pas trop l’interface Unity de Ubuntu, et puis Ubuntu m’a planté le PC pendant des mises à jours ^^

Si tu n’as pas été au ski, tu as raté ton hiver ! (air connu)

…ou alors tu avais autre chose de mieux à faire peut-être :-). Je m’étonne en effet chaque année un peu plus des remarques qui fusent et des yeux souvent ébahis de mes interlocuteurs lorsqu’ils découvrent avec stupeur que « non je ne skie pas » et « non, non, ne vous inquiétez pas, je le vis très bien ». J’exagère peut-être un peu, mais je ne pense pas être loin de la vérité.  Ce qui est étonnant, c’est qu’à travers ces remarques, et à travers toute la publicité qui peut être faite autour du ski (il n’y a qu’à voir les sempiternelles pseudo-infos du 20h sur les traditionnelles vacances d’hiver à la montagne), je me rend compte que le ski est l’unique sport qu’il semble naturel de pratiquer, ou plutôt, qu’il semble totalement aberrant de ne pas pratiquer ! Moi qui (re)joue assidument au tennis (ou du moins qui essaie :-)), je n’entends jamais personne dire « tiens c’est aberrant, cette personne n’a jamais joué au tennis de sa vie » ou encore « t’as pas fait un seul match de tennis durant les 6 derniers mois ? Mais qu’est-ce que tu as foutu ? ». Et on pourrait remplacer le tennis par n’importe quel autre sport. Alors, non qu’on ne s’y trompe pas, je ne suis pas anti-ski. Que les gens qui aiment skier aillent aux sports d’hiver, cela ne me pose aucun problème. Mais cela m’en pose davantage quand on vient me faire des remarques et des leçons de moral sur le pourquoi je devrais faire telle ou telle chose (i.e. du ski dans notre cas) parce que tout le monde la fait. Bref, tout ça pour dire que je me désole de cette tendance de plus en plus prégnante à vouloir ranger les gens dans des cases, à leur dire, faites-ci, faites-cela, à leur imposer leur manière de vivre, à créer des modes que les gens s’empressent de suivre et entretiennent dans un cercle vicieux.

Speedwriting #11 – number three

Les précédents épisodes ici et ici.

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Oh my ! Oh my ! Well, surely you could not have surprised me at that moment proffering these sounds out loud, for it would have been the most stupid thing to do. However, deep inside my mind, indeed deep inside my brain, I think my neurons were releasing as many electrical signals as they could so that once the threshold would be matched, I could not help but tell these two words. I was fighting against myself, and it was hard to do so in her presence. I did not know why, but even if her behaviour seemed completely harmless, I felt there was more than meets the eye. A stranger looking at both of us would have found our pair rather funny. I was following her, and rather than walking with her, I looked like a poor soul wandering, a few steps behind Miss Ana. She noticed that of course, but she did not seem to mind it at all for the first minutes or so, for perhaps she was also pondering what was going on and if she had done the right thing. As I was about to become restless, she stopped in front of a large building and looking at me, offered me to step in first. As I did so, I met her eyes, and though I wished it, I unfortunately could not read her mind.

Where she had drove me was in fact an immense pub, whose dimensions I did not dare to guess. Since I looked bemused and lost, Miss Ana told me that these pub was perhaps the most famous of the city, and by far the bigger. Two floors stood above us and Miss Ana had the intention to go up there. The staircase was very steep and I watched my steps cautiously. As soon as we arrived at the top of the pub, I noticed that Miss Ana was far from being a stranger in this place. She waved to a girl pouring beers after beers and the girl waved back.

“This is Helen, an old friend of mine” Miss Ana told me as we were heading towards her. I nodded a little. Helen was still pouring some glasses and at the same time indicated a table for Miss Ana and myself. The crowd was perhaps less dense than on the other floors, and yet, I had the impression that the two seats had been reserved especially for us. I became all the more convinced of that fact when, as we seated at our table, I looked around me and saw that we were kind of protected from the other clients, a little wall coming across the main place lessening the voices and the hypothetical curious.

It is the moment that I choose to comment on her odd choice : “ Well, Miss Ana, that is very kind of you to take me to this little tour of yours, and I must say that the place you choose is the most unexpected”. Miss Ana let out a little laugh : “Quite unexpected indeed. I am pretty sure you would not suspect me wandering in a pub like this. Well, to tell you the truth, I don’t have lots of occasions to come here. But as a matter of fact, when I was a student, this was the place were I found myself gathering with my friends, chatting and relaxing among my peers. Yeah…relaxing, even with that big noise !”

“Well, I do not know if I wish I had this kind of place back in my city, but I am pretty sure such a place will never exist anyway”.

Miss Ana seemed to be surprised by my remark and added :

“Really ? And why so ? Is it a political matter ?”

I found myself at unease with the tour the conversation was heading into :

“Politics ? No, I don’t think so. You know, we are in fact very open minded. Much more than you could think. But it is just not in our culture I guess.”

“You are right. I mean, I hope I haven’t offended you. It was not at all my intention”.

“Don’t worry. You haven’t. Your remark was sensible. I am aware of lots of cities and countries where alcohol and big gatherings are completely forbidden. We are just lucky that it is not the case for us. For both of us.”

Miss Ana did not respond for a few seconds, seemingly lost in her thoughts. Then she exclaimed quite abruptly :

“Really, I am glad you accepted my invitation. You see, I know you would not expect that. But I think it is indeed really important for our job. See, in a few minutes, we have already talk about secrets from my student life and some political, or rather non-political facts. That is why I took the liberty to talk about it to Mr Christopher a few weeks ago already. I thought he would not be too much into it, but to my surprise, he accepted it joyfully. So I plainly understand your hesitations”.

There she paused a little, and as I was about to tell something, she waved to Helen who had finished her job with other clients.

“Would you like a beer ? Or something else” Miss Ana told me ?

“Well, you are the expert here Miss Ana. Give me whatever is worth it as long as I can still manage to survive the afternoon tour.”

Miss Ana seemed rather glad with my response.

“Two beers then” and indicated with her right hand the two beers to be ordered.

And then, rather mysteriously, she said :

“This beer won’t do you any harm, trust me. And as you said before, the danger would just be to mix things up, which won’t be the case here.”

Oh my, oh my…

L’été en hiver, ou plus exactement le début d’automne au début du printemps

En cette période de grand froid (qui semble étonner la France entière une nouvelle fois, alors que bon, on est début février voilà quoi…) quoi de mieux que de rêver de soleil, de plage de sable fin, de farniente, de déserts, d’aventures, de requins blancs mortels, d’araignées mortelles, de serpent mortels…bref, de rêver de l’Australie !

Cela fait des années que je souhaite me rendre au pays des kangourous, et il ne me reste plus que quelques semaines à trépigner d’impatience avant d’entreprendre mon plus lointain voyage jusqu’à présent. 🙂

Difficile de définir l’itinéraire idéal dans un pays si vaste pour un laps de temps limité. Cependant, entre Sydney, la forêt luxuriante des alentours, une petite partie de l’Outback et notamment l’incontournable site d’Uluru/Ayers Rock (ainsi que les monts Olga), pour finir au nord est du côté de Cairns et de la fameuse Grande Barrière de Corail, je crois que j’aurais déjà un bel aperçu du coin (aperçu, qui je l’espère, en appellera d’autres !).

Je pense que je tiendrai un journal de voyage une fois sur place, au moins pour consigner mon emploi du temps et mes impressions au jour le jour. Puis, une fois de retour au bercail, je remettrai sûrement tout cela en forme pour le publier sur le blog. On verra ce que cela donnera, et si l’expérience est concluante, je la reconduirai sûrement (Tanzanie, entends-tu mon appel ?).