Quelques brèves

Après avoir raté (pour quelques secondes) l’une des trois dernières places disponibles pour la séance 3D Imax VF du film Gravity au Gaumont Labège mardi dernier (2013-10-29), je suis finalement allé le voir en 3D VO au cinéma Le Central à Colomiers ce vendredi (2013-11-01). Un film vraiment excellent et que je recommande vivement ! Pour une fois que l’espace, ses particularités, ses merveilles et ses contraintes sur l’homme sont représentés de manière réaliste par Hollywood, je ne vais pas bouder mon plaisir :-). Sandra Bullock est d’ailleurs étonnante dans son rôle ! Petite particularité de la séance à laquelle j’ai assistée, initialement, elle était prévue en 2D, mais une fois sur place, j’ai appris que c’est la séance 3D (sans supplément) qui serait programmée. A priori, c’était une demande du distributeur de ne plus passer Gravity en 2D.

J’ai enfin reçu mon nouveau moniteur ! J’avais déjà vendu la mèche par ailleurs ! Il s’agit d’un Dell U2713HM que j’ai commandé par amazon.de, moins cher que amazon.fr pour le coup. Pour l’instant, tout est parfait, si ce n’est qu’il me manque un cable DisplayPort que je devrais recevoir la semaine prochaine. Pour l’instant, je suis donc connecté en VGA et ne bénéficie pas de la résolution maximale qu’offre cet écran (2560 par 1440 pixels). Plus d’informations à venir d’ici quelques jours donc !

Ma table de salon, commandée mi-août, est enfin arrivée de Chine (tout ça parce qu’elle est rectangulaire et pas carrée…). Je l’ai montée vendredi et j’ai le dos cassé en deux. C’est la dernière fois que j’achète un meuble qui pèse une tonne ! Mais bon elle est jolie et fonctionnelle, l’essentiel est là :-).

Ma pression artérielle est plutôt basse ces jours-ci : 90/60 mmHg. C’est grave docteur ?!

Tourmalton

« Tourmalton et le tueur aux billes » plus exactement. C’est le nom d’une petite nouvelle que j’ai écrite lorsque j’avais à peu près dix ou onze ans. Une de mes premières histoires, et qui possède notamment un début et une fin. J’ai eu la chance de retomber dessus cet été, nouvelle écrite alors sur cinq copies doubles, que j’ai eu la bonne idée de ne pas jeter mais qui s’était tout de même bien perdue dans mon placard chez mes parents. Retrouver ce texte, et le relire, a été l’occasion d’un bon fou rire tellement cette histoire est stupide. Ça a aussi été l’occasion de me faire très mal aux yeux. Mon orthographe n’a jamais été géniale, mais alors vers dix ans, quelle catastrophe !!!

Saisissant l’occasion d’avoir ce texte à portée de main, j’ai décidé d’en garder une trace sur le web infini. J’ai donc réécrit le texte pour mon site web. Mis à part les fautes d’orthographes qui sont je l’espère pour leur grande majorité passées à la trappe (sans quoi le texte est totalement illisible, déjà que son intérêt est nul), je n’ai que très très peu remanié le texte, si ce n’est deux trois tournures ou fautes de grammaire qui me semblaient vraiment rédhibitoires. Pour le reste, la naïveté, les incohérences, l’inconsistance sont toujours au rendez-vous, ne vous inquiétez pas. Si vraiment vous voulez démarrer la saison des prix littéraires avec les délires d’un gamin de 10 ans aspirant écrivain, c’est par ici.

News aléatoires

Un ami m’a fait remarquer aujourd’hui que cela fait quelque temps que je n’ai pas posté de billets sur mon blog. Effectivement ! Il faut dire que j’ai eu ces dernières semaines la bonne excuse d’être pris par mon déménagement. Bien sûr, dans ces cas là, les petites choses à faire s’accumulant les unes derrière les autres, et ayant a priori des tâches plus urgentes à effectuer qu’écrire un billet pour raconter que je n’avais pas le temps d’écrire, je me retrouve avec une absence prolongée sur les bras. Voilà, le mal est réparé 🙂

Bon, je vais quand même en profiter pour raconter deux trois petites choses. Il serait cruel de vous laisser en plan désormais !

Je suis allé voir Rush au cinéma il y a quelques jours et je dois dire que j’ai vraiment beaucoup aimé. Faire un film ayant la Formule 1 en trame de fond d’une intrigue qui met aux prises deux grands pilotes des années 70 était une gageure ! Je trouve que Ron Howard a très bien relevé le défi ! Les bolides de l’époque font réalistes. On n’est pas dans le « tout image de synthèses » qui fait qu’on y croit pas vraiment. Le plus important est surtout qu’Howard s’attache à la rivalité et aux personnalités de ses deux personnages principaux si différents. Il se garde bien de tout jugement sur le comportement de l’un ou de l’autre. Cela aurait pu être facile pourtant avec un James Hunt vraisemblablement addict au sexe qui saute sur tout ce qui bouge et un Niki Lauda enfermé dans ses calculs de risques au détriment – a priori – de toute passion pour son sport. C’est bien sûr la dernière discussion entre ces deux « héros » qui clôt magistralement deux heures d’un excellent film. Je me suis régalé avec le soin apporté à la photo par ailleurs !

En parlant de photo, je passe enfin la vitesse supérieure en ce qui concerne l’acquisition d’un moniteur digne de ce nom ! Je me retrouve en effet un peu démuni entre un écran d’ordinateur portable 15 pouces d’un côté et un vieux moniteur 17 pouces de l’autre côté. Rien de vraiment rédhibitoire lorsqu’il s’agit de naviguer sur le net, mais pour visualiser et surtout retoucher des photos, c’est une autre histoire ! Je m’oriente soit sur un 24 pouces, soit sur un 27 pouces. Je vous en dirai plus dans quelques jours !

Qui dit acquisition de moniteur, dit délestage de bourse ! Cela me fait ainsi repenser à une petite méditation que je mène ces derniers temps sur mon caractère « dépensier » ou plutôt l’évolution du degré de caractère dépensier au cours de ces dernières années. Je pense ainsi avoir toujours eu la valeur des choses matériels en général. A tel point que j’ai longtemps très peu dépensé. Bien sûr, avant que je ne travaille, mes parents étaient mis à contribution pour mes achats. Mais même durant cette époque, je ne demandais que peu de choses. Je n’étais pas du genre à avoir besoin de 100 cadeaux à chaque anniversaire pour être heureux, ni à vouloir la dernière console ou le dernier vêtement à la mode. Et finalement, quand j’ai commencé à travailler et à gagner ma  vie il y a un peu plus de quatre années maintenant, j’ai conservé ce rythme de croisière. Alors que je pouvais me permettre, par la grâce d’un bon salaire, et d’une absence initiale de loyer à payer (merci pôpa môman), de me faire franchement plaisir, il m’a fallu une bonne année pour m’autoriser à mettre la main à mon porte-monnaie. C’est à ce moment là que j’ai commencé à acheter mes bouquins sur Amazon notamment, même si j’étais alors loin de ma boulimie actuelle. Peu de temps après avoir débuté mes dépenses, j’ai augmenté ce degré par la grâce d’une relation amoureuse. Puis, suite à l’échec total de cette relation et le gros coup de déprime qui en a suivi, j’ai encore davantage augmenté ce degré. Les dépenses sont-elles donc un bon palliatif à une rupture amoureuse comme le prétend le cliché ? Je ne sais pas ! Mais j’avoue que la rupture m’a permis de vraiment me recentrer sur moi-même et de me faire vraiment plaisir ! En gros, c’était un moyen de prendre conscience qu’il ne faut pas attendre que les autres vous apportent du bonheur, mais d’aller le chercher soi-même ! Ce qui est tout à fait exact ! J’en arrive ainsi au point culminant de ce magistral essai : l’argent les dépenses font-elles le bonheur ? Oui…et non. Oui, dans mon cas, car je pense que mes achats, prévus ou coups de cœur, n’ont jamais été regrettés (et ceci vient peut-être quand même du fait que j’ai acquis globalement la valeur des choses dans la société dans laquelle je vis), et non dans le sens où bien plus que ces choses matérielles que je peux me payer, ce sont au contraire les expériences (payantes ou non) qui me font le plus plaisir ! Je m’en suis rendu compte avec mes récents voyages en Australie et en Islande. Aucun de ces deux voyages n’était donné, et chose inhérente à chaque voyage, on se doit de le vivre à l’instant même où il se présente à vous, pour n’en garder plus tard que les souvenirs, photos, anecdotes. C’est de l’argent dépensé d’une autre manière, mais c’est de l’argent qui ne sera pour moi jamais perdu. Donc tout ça pour dire que j’assume totalement mon désormais assez haut degré de dépense, au moins relativement à ce qu’il était il y a quatre ans, et que ces dépenses soient destinées à du matériel ou de l’immatériel.

Et tout ça pour dire que cette entrée est bien plus longue que ce que j’avais prévu !

Pérégrinations au pays des FAI

Je suis actuellement en plein déménagement (bientôt mon vrai chez moi oui oui !), et qui dit déménagement dit aussi pas mal de tâches aussi peu fastidieuses (comparé à du transport de canapé !) qu’obtenir une box pour pouvoir tranquillement accéder au net.  Mon idée depuis quelques mois était d’aller m’établir chez OVH. Je ne sais pas si OVH est intrinsèquement meilleur qu’un autre FAI, du genre Orange, mais j’ai été séduit par le côté un peu professionnel et bidouillage que l’offre permet a priori.

Je pensais donc à partir de la livraison de mon appartement pouvoir facilement m’abonner à leur offre de base. Cependant, les choses n’ont pas été aussi simples. Je n’ai en effet pas de ligne active, ce qui ne permet pas à OVH de récupérer mon adresse. Je tente d’entrer mon adresse, mais cette dernière n’est pas reconnue. Et quand bien même l’aurait-elle été que cela ne m’aurait pas avancé à grand chose car cette recherche d’adresse est destinée à récupérer le numéro de l’ancien occupant de l’appartement. Or, cet appartement est neuf, et j’en suis le premier occupant bien évidemment. Et je n’ai pas de numéro de téléphone attribué bien que la ligne soit tirée. Bref, je me retrouvais un peu le bec dans l’eau.

Je me suis donc résolu à passer par un autre FAI. Le choix n’a pas été particulièrement compliqué, mais j’ai souhaité d’abord faire une première passe chez chaque opérateur pour voir ce que chacun avait à me proposer. Premier FAI testé, Orange. Ces derniers reconnaissent bien mon adresse, et me disent qu’il n’y a pas de soucis pour une offre du genre Livebox Zen (pas de fibre par contre) avec notamment la TV par ADSL. OK. Deuxième FAI testé, SFR. Je donne mon adresse au monsieur qui s’occupe de mon cas. Il cherche quelques secondes, me regarde l’air hagard, et me dit qu’il ne trouve pas mon adresse. Je le regarde alors un peu bêtement, les yeux suppliants (genre le chat potté dans Shrek) en espérant naïvement que quelque chose va se passer, mais rien ne se produit. Pas d’adresse reconnue, pas d’abonnement possible ! Troisième FAI testé,  Bouygues. Miracle, ils reconnaissent mon adresse. Mais la personne qui s’occupe de moi me dit alors que mon débit ne me permettra pas de recevoir la TV par ADSL, mais que l’offre restera au même prix !! Alors que chez Orange, visiblement, on ne prédit pas de problèmes de débit. Quatrième FAI testé, Free. Enfin, testé via une expérience de pensée. Youtube bridé, même si je n’y passe pas ma vie, loin de là, ça m’énerve par principe, peu m’importe que Free ait ou n’ait pas des raisons valables de réaliser ce bridage. Autres FAI testés, aucuns.

Me voilà donc au bout de mes pérégrinations, et je me dis que le plus simple est donc d’aller me créer un abonnement chez Orange, avec dans un coin de ma tête l’idée de partir chez OVH plus tard. Affaire bouclée assez rapidement chez Orange, un numéro de téléphone m’est attribué. Je teste l’éligibilité du numéro chez OVH le soir, et surprise, le numéro et l’adresse sont déjà reconnus. Bien sûr, la ligne n’étant pas encore active, OVH me dit qu’à cette adresse, aucune offre n’est possible.

Bref, OVH ==> Orange ==> SFR ==> Bouygues ==> Free ==> Orange, et peut-être ==> OVH. Je suis fatigué 😉

Toulouse l’Espagnole. Toulouse ville Rose ?

J’ai eu l’occasion d’assister au festival Toulouse l’Espagnole hier soir avec quelques amis, et de découvrir notamment la chanteuse Concha Buika. Je ne la connaissais pas du tout et il est indéniable qu’elle dégage une énergie incroyable ! Sa voix et ses cris puissants semblent tout droit sortis d’une autre planète. Je viens d’écouter sur le net quelques uns de ses morceaux en conditions « normales » et ça reste toujours aussi agréable et impressionnant. J’ai pu aussi davantage me concentrer sur les paroles espagnoles. Dès que j’ai commencé à fatiguer un petit peu hier soir, c’était beaucoup plus difficile.

Bref, très bonne soirée. Cela dit, aillant eu l’occasion au cours de cette soirée de passer par les rues Alsace-Lorraine, Pargaminières et Romiguières, je ne peux que me montrer déçu de voir à quel point Toulouse n’a pas saisi l’opportunité d’embellir comme il se doit ces 3 rues. La rue Alsace-Lorraine est achevée depuis quelque temps déjà, et je suis au regret de la trouver terriblement froide, à des années-lumières de la chaleur qu’elle devrait dégager. Le gris quasi-unitaire de ces nouveaux pavages dépareille totalement avec la fameuse brique ocre qui fait tout de même l’identité de Toulouse. Sans être un intégriste du « Rose à gogo », j’ai du mal à comprendre comment les urbanistes et autres architectes ont réussi à nous pondre un paysage aussi sinistre. En lisant quelques interviews des architectes concernant les travaux sur toulouse.fr (voir cet exemple dont le lien ne sera peut-être pas pérenne), on a l’impression que leur but consistait à créer un grand espace aéré et sobre. Soit, l’intention est louable. Mais à aucun moment n’apparaît la nécessité de s’accorder avec les tonalités et l’âme de la ville (le rappel ocre du pavage paraît bien artificiel…). Malheureusement, les deux autres rues évoquées plus haut, toujours en travaux, suivent le même acabit. Je trouve ça terriblement frustrant… J’ai presque envie d’aller me balader avec un saut de peinture couleur brique la prochaine fois ^^

La boîte à mémoire.

Cela fait quelques années que je collectionne les tickets des films que je vais voir au cinéma. Depuis un petit peu plus d’une dizaine d’années (mon premier ticket date de la fin de l’année 2000), j’ai donc amassé un certain nombre de tickets rangés dans une petite boîte. Appelons là la boîte à tickets. Même si j’ai bien entendu laisser quelques films passer entre les mailles de la boîte (pas sûr qu’elle ait des mailles en fait), j’ai pu accumuler assez d’informations pour créer cette fameuse page cinéma que je désirais tant. A part moi, cette page n’intéressera personne, mais à tout hasard, la voici ici. Par une heureuse coïncidence qui ne doit sans doute rien au hasard et tout aux gènes, ma sœur avait bien avant moi entamé cette quête des tickets de cinéma à sa manière. Elle consignait en effet consciencieusement sur des petites fiches cartonnées l’ensemble des films qu’elle voyait et la date associée. Cela m’a permis d’enrichir ma page cinéma jusqu’à l’année 1998 car à l’époque, je voyais la plupart de ces films avec ma sœur.
C’est en créant ma petite page cinéma que je me suis rendu compte à quel point nous sommes ignorant de la plupart des événements de notre propre quotidien, qu’il remonte d’un an à dix années en arrière. Et je me suis aussi rendu compte à quel point ma boîte à tickets était finalement bien plus qu’un simple résumé de mes « événements » cinématographiques. En effet, bien souvent, je me rends compte que je garde en mémoire les événements collatéraux à la vision d’un film. Ce que j’ai pu faire avant, où j’ai pu dîner après, où est-ce qu’a eu lieu la fameuse critique a posteriori du film, comment je m’y suis pris pour inviter pour la première fois une fille au cinéma. C’est sympa de se dire que du coup, on a une idée assez précise de l’occurrence de ces souvenirs collatéraux. J’ai donc décidé de renommer ma boîte à tickets en tant que boîte à mémoire ! Sans le vouloir, ma boîte a transcendé d’elle-même sa fonction première et transcendé ma mémoire (enfin, j’aimerais bien le croire ça). 🙂

Lectures, lectures, lectures

Après ce dernier billet, où en suis-je dans mes lectures ? C’est une bonne question à laquelle je vais tâcher de répondre illico presto :
– A Clockwork Orange, d’Anthony Burgess
– The Emperor’s New mind, de Roger Penrose
– Les trous noirs, de Jean-Pierre Luminet
– Other Voices, Other Rooms, de Truman Capote
– Breakfast at Tiffany’s, de Truman Capote
– Foundation, d’Isaac Asimov
– Foundation and Empire, d’Isaac Asimov
– Second Foundation, d’Isaac Asimov
– Lady Chatterley’s Lover, de D.H. Lawrence
– Le Ton Beau de Marot, de Douglas Hofstadter (voir ici ce que j’en dis)
– El amor en los tiempos del cólera, de Gabriel Garcia Marquez
– The Evolution of God, de Robert Wright
– Memoria de mis putas tristes, de Gabriel Garcia Marquez
– The Happiness Advantage, de Shawn Achor
– Zazie dans le métro, de Raymond Queneau

Que dire, si ce n’est que tous ces bouquins ont constitué d’excellentes lectures !

P.S. : en fait je suppose que je pourrais donner mon avis sur chacune de mes lectures, mais rien que de penser à la charge de travail que cela représenterait pour moi, j’en ai des vertiges qui n’augurent rien de bon. Je préfère rester sur le mode du commentaire spontané comme ce fut le cas pour le Ton Beau de Marot.

Welcoming Galilei

Time goes by, as we all know, and in my case, it seems that time is bringing me new computers every year. Indeed, after adopting Newton in 2011 and Wilde last year, I am glad to announce that I just decided to welcome home Galilei ! Newton and Wilde are so happy to have a little brother. And I already hear them asking me to add a little sister to the family. Well, it is very likely that I will fulfil their wish in the coming months !

Anyway, let’s see how big is my new baby Galilei. It comes with 4 Go of RAM, a hard drive with a capacity of 80 Go, and as for the processor, it’s a Pentium(R) Dual-Core CPU E5200 @ 2.50GHz × 2. Very welcoming indeed (at least for my standards).
I decided to install Ubuntu again (version : 12.04.2 LTS 64 bits) since my experience with Wilde was successful. Of course, I had to get rid of the awful Unity shell interface once again to come up with the more efficient and user-friendly GNOME (well, to tell you the truth, this is GNOME classic, otherwise all those fucking shells which seem to be designed mainly for tablet computers and smartphones would kill me !).

So I’ve got one PC running on Fedora, and two PCs running on Ubuntu at the moment. Since I did not use Newton for a long time, I think I will get him on track again and upgrade him to the new Fedora release. Oh, and yes, Feynman is still alive and running on Windows 7, but I really only use it to post-process my photos with Lightroom.

SNES et autres game-boy des temps anciens – la suite

Comme je l’avais suggéré il y a de ça deux billets (comme le temps passe vite), j’ai écrit une PageWebQuiNeSertARien©, afin de dévoiler au monde entier mes fabuleux scores au jeu Mario Kart sur SNES (système PAL). Je suis bien conscient que c’est d’un intérêt pour le moins léger, mais au moins ça me permet de graver dans le web des scores qui pourraient être définitivement inaccessibles un jour prochain (console morte ou cartouche morte), et accessoirement de créer pour la première fois un tableau en html. Bon là j’avoue, c’est quand même ultra-facile ça (mais ne vous inquiétez pas, j’ai plein d’autres idées derrière la tête sur la conception à long terme du site, mais toujours aussi peu de temps et/ou la flemme de mettre ces idées en applications).

En vrac

Non, contrairement à ce que le titre du billet pourrait laisser suggérer, je ne suis pas totalement en vrac…pas encore du moins. Ce qu’il suggère davantage, c’est une suite de news sans queue ni tête, donc clairement en vrac !

Hier soir, j’ai mangé dans un très bon restaurant japonais avec deux amis. Il s’agit de l’Izakaya. Situé près de la station de métro Palais de Justice à Toulouse, on y mange très bien, dans un cadre agréable, quoique très (trop) calme et pour ne rien gâcher, les prix pratiqués sont loin d’être excessifs. J’avais pourtant quelques craintes au départ, d’autant plus que je suis très difficile concernant les restaurants japonais. Ces craintes ont été vite dissipées et j’y ai passé un très bon moment ! Je le conseille fortement à tous ceux qui apprécient la cuisine japonaise ou souhaitent la découvrir !

Le temps passe vite, et dans seulement deux semaines, je pars en vadrouille pendant une petite semaine en Islande avec quelques amis, en passant par la case Amsterdam (ou plutôt Rijswijk) à l’aller comme au retour ! J’ai plutôt hâte d’effectuer ce voyage, d’autant plus que je ne sais vraiment pas à quoi m’attendre, que ce soit en termes de paysages, d’ambiances, d’accueil et de contact avec les habitants ! Il faut que je réfléchisse aussi aux objectifs à emporter dans mes bagages. Je planche sur le 100 mm macro en priorité. Mon ami Sam aura lui aussi quelques objectifs Canon ce qui fait que l’on aura l’occasion de partager nos optiques. J’aurais bien pris mon Leica M aussi, mais malheureusement, je ne l’ai pas encore acheté 😉 .

Sam, justement, a eu la gentillesse de me donner un coup de pouce dans ma quête de la collection de l’ensemble des traductions du livre Gödel, Escher, Bach dont j’ai déjà longuement parlé ici. Il m’a récupéré la traduction hollandaise (non disponible sur Amazon, mais disponible sur une sorte d’équivalent hollandais, bol.com), et j’ai hâte de la voir et de la récupérer dans une quinzaine de jour (de la lire un jour aussi, mais ce ne sera pas pour tout de suite hélas !).

J’ai vu le nouveau Tarantino il y a quelques jours, Django Unchained et j’ai adoré du début à la fin. Ce film est totalement jouissif, et bénéficie d’acteurs magistraux. Il faut aller le voir (en VO bien sûr) rien que pour les performances de Christoph Waltz et de Samuel L. Jackson. Les autres acteurs sont au diapason, notamment le toujours excellent Leonardo DiCaprio.

And last but not least, j’ai enfin eu de la chance au tirage au sort pour assister à un concert à la Halle aux Grains jeudi prochain. Un an et demi que j’attendais ça 🙂