Gaufres

Ma rubrique miam miam n’est pas encore très étoffée.  Alors après les Mantécaos et les Cannelés, voici La recette des gaufres, la seule et l’unique en ce qui me concerne :-).

Alors, à propos des ingrédients, pas de surprises bien sûr – pour environ 16 gaufres, mais personne ne vous empêchent de doubler ou de tripler les doses :

– 80 g de beurre

– 60 g de sucre

– 1 sachet de sucre vanillé

– 3 œufs

– 200 g de farine

– 1 demi-sachet de levure en poudre. Update (2013-09-18) : En fait, vous pouvez aller jusqu’à un bon sachet de levure afin que les gaufres gonflent mieux à la cuisson !

– 25 cl de lait

– du rhum…beaucoup de rhum

Et une fois qu’on a rassemblé tous ces ingrédients sur son plan de travail, c’est parti :

– faire fondre le beurre, et le mélanger ensuite au sucre et au sucre vanillé préalablement versés dans un récipient adapté

– battre deux œufs entiers plus un jaune et réserver un blanc pour le battre en neige

– ajouter les œufs battus au mélange précédent

– joindre la farine tamisée et la levure

– verser peu à peu le lait en délayant progressivement

– faire le blanc en neige et l’incorporer à la pâte

– verser le rhum

– verser encore du rhum

– verser toujours du rhum, oui oui !

– la papâte est prête 🙂

– préparer son gaufrier 🙂

– faire cuire 🙂

– manger !!!!

Je viens très récemment de tester mon nouveau gaufrier, alors c’est avec une grande émotion que je vous joins une image du premier bébé gaufre au sucre vanille (au plutôt du sucre vanille parfumé à la gaufre…il n’y a pas qu’avec le rhum qu’on peut avoir la main lourde).

Je lis de la SF !

J’ai beau lire énormément (surtout ces derniers temps), et j’ai beau avoir suivi un cursus scientifique et être un grand amateur de mathématiques, de (méta)physique, et plus généralement de sciences au sens large, je n’ai pas souvenir d’un livre de SF que j’aurais lu au cours de ces 15 dernières années (ou presque, voir le P.S. en fin de billet).

Et pourtant, tout a changé depuis quelques jours. Je me suis acheté il y a quelques mois les trois premiers bouquins du cycle Foundation d’Isaac Asimov, et je viens justement d’entamer Foundation (à compléter par Second Foudation et Foundation and Empire). J’ai aussi acheté dans un autre genre (plutôt hard SF), A Deepness in the Sky de Vernor Vinge. Voilà, il était temps que je brise ce mur qui me séparait encore de l’un des rares genres littéraires que je n’avais jamais vraiment abordé jusqu’alors. Était-ce d’ailleurs un rejet volontaire du genre ? Je n’en sais trop rien.

Du coup, ce petit épisode m’a fait réfléchir sur les grands genres littéraires que j’ai pu aborder ou éviter jusqu’à présent. Il m’en vient deux autres en tête que je n’ai fait qu’effleurer. Il s’agit du roman policier et de la fantasy. En fait, c’est très simple, à part quelques petites nouvelles policières que j’ai pu lire quand j’étais gamin, je ne lis pas de romans policiers. J’ai même totalement horreur de ça. Ne me demandez pas pourquoi, je n’aurai pas d’explications rationnelles à vous fournir. C’est un genre qui me rebute. Bon, ma mère me dit que quand elle était jeune elle détestait ce genre, et maintenant qu’elle est moins jeune (^^) elle ne dévore que ça. Rendez-vous donc dans une trentaine d’années ! Concernant la fantasy, c’est un genre vers lequel je me sentais attiré légèrement quand j’étais adolescent, mais mis à part les bouquins de Tolkien, les quelques tentatives de lectures que j’ai faites se sont soldées par une grosse lassitude pour ce genre (je n’ai sans doute pas choisi les auteurs les plus talentueux, mais aussi géniaux que pourraient être les bouquins qu’on me propose, je n’ai actuellement aucun désir de lire de la fantasy. Plus tard peut-être…). En fait, maintenant que j’y réfléchi, je me dis que c’est le respect de « codes » qui m’horripilent, aussi bien dans le policier que dans la fantasy. J’ai l’impression désagréable que chaque bouquin que je vais pouvoir lire va ressembler à une énième dérivation de la même trame dont on aura juste changé le nom des protagonistes et inversé quelques rôles et chapitres. Mais de surprise et d’originalité, point de tout ça !

Bref, le policier et la fantasy, vous n’en trouverez pas des masses dans ma bibliothèque ! Et la SF dans tout ça ? Avec parcimonie pour le moment, et une fois que j’aurai clos ces premières lectures que j’aborde comme des curiosités (histoire de ne pas mourir bête) davantage que comme une réelle envie, j’en tirerai les conclusions qui s’imposent.

P.S : J’ai en effet dévoré une très grande partie des œuvres de Poe et Lovecraft. Mais ces nouvelles d' »horreurs », je ne les considère pas vraiment comme un sous-genre de la SF bien que ces œuvres, et plus particulièrement celles de Lovecraft, soient parfois classées comme telles.

Amazon addicted (2)

Great news ! A few days after unveiling to the world my addiction to Amazon, I maybe found a solution which does not include going into rehab ! And the solution comes from no less than Amazon itself ! Mr or Miss Amazon must be reading my blog, no kidding, I am so proud 🙂 So, what is this miraculous solution exactly ?

Well, it is rather simple ! This morning, Amazon sent me an email telling me they could not locate my address and consequently could not deliver the book I had ordered ! Since I never changed the delivery location and since they never failed to find it until now, I suppose they did it on purpose to show me they had taken care of my problems ! Thanks Amazon !

P.S. : further reflections led me to think that the whole story does not make sense at all ! I am providing Amazon lots of money thanks to my orders ! So why the hell would they help me to stop my orders ! Well, never mind… 🙂

Les séries que je regarde

Je ne me considère pas particulièrement comme un dévoreur de séries, et encore moins comme un télé-phage. Je pense en fait suivre très peu de séries (surtout maintenant) par rapport aux accrocs, mais peut-être relativement plus que la moyenne, encore que… (en fait, il faudrait trouver des statistiques pour en être certain !). De toute façon, le but du billet n’est pas de statuer sur ma place dans l’échelle des consommateurs de séries, mais plutôt de présenter les séries que j’ai aimées, que j’aime (et que j’aimerai ?).

Je ne sais pas trop par où débuter, alors commençons par les séries que je regarde actuellement. Parmi celles-ci, il en est seulement deux que je regarde assidûment sans rater un seul épisode (oui, certaines séries ont un caractère vraiment addictif), soit House, et Big Bang Theory (j’inclue séries aussi bien que sitcoms dans ce billet). Seulement deux séries ? Et oui, je crois qu’il s’agit des deux séries dont je suis vraiment accroc. Après, parmi les séries que j’apprécie vraiment au niveau de la qualité des scénarios mais dont je peux rater quelques épisodes, on retrouve Criminal Minds et c’est à peu près tout ! Criminal Minds fait un peu figure d’ovni, car je déteste les séries policières en général. J’ai par exemple en horreur Les Experts et ses déclinaisons dans toutes les villes du monde ! Il m’arrive néanmoins de regarder The Mentalist, Castle ou Cold Case, mais je n’ai jamais suivi régulièrement. J’ai apprécié les quatre premières saisons de HIMYM, puis j’ai un peu décroché, et il faudrait que je trouve aujourd’hui le courage de rattraper quatre saisons de retard (pas sûr que j’en ai l’envie, c’est bien le problème quand on décroche d’une série d’ailleurs).

Parmi les séries à ranger au panthéon des Best of the Best, j’ai été un inconditionnel de Rome, produite par HBO, d’une qualité absolument incroyable mais bien trop courte hélas (2 saisons). J’ai bien évidemment été jusqu’à la fin un inconditionnel de Lost, dont j’ai d’ailleurs déjà parlé sur ce blog (c’est dire :-)). La première saison de Desperate Housewives m’a énormément plu, beaucoup moins la seconde, puis j’ai arrêté de regarder.

Si l’on remonte maintenant au temps des séries que j’aimais quand j’étais (pré)-ado, il y avait, en vrac, Sliders (sans aucun doute ma première série culte), Buffy, Stargate SG-1, Highlander, Code Quantum (dont l’épisode final est absolument déprimant soit dit en passant…) ainsi que Hartley Coeurs à vifs (oui oui ^^).

Il y a clairement nombre de séries qu’on m’a souvent conseillé mais que je n’ai jamais regardé, tels Battlestar Galactica (ma sœur et un ami étaient fans il me semble bien) ou Dexter. Il est aujourd’hui peu probable que je les regarde un jour (je n’ai pas envie de me farcir plus d’une dizaine de saisons sur l’ensemble de ces deux séries !!).

Voilà, cette entrée est vraiment fourre-tout ! Je pense avoir fait le tour des séries dont j’ai au moins suivi de nombreux épisodes, même si certaines d’entre elles sont sans doute passées à la trappe ! En dépit de ce bazar, je peux extirper mon top 3 de séries préférées :

– Rome

– House

– Lost

Voyage sur Paris. Psychologie à deux euros (anciens)

La semaine prochaine, je vais remettre les pieds à Paris. J’en suis très content car c’est l’occasion pour moi de revoir des personnes que j’apprécie beaucoup (celles qui m’hébergent par exemple) et que je n’ai malheureusement pas souvent l’occasion de côtoyer à cause de la distance.

Cela va pourtant me faire tout drôle de passer ces quelques jours du côté de la capitale. J’ai durant cette dernière année et demie pas mal voyager à droite et à gauche, mais jamais mon chemin n’a croisé celui de la capitale, même pas pour un fugace transit dans un aéroport ou dans une gare ! Je me demande parfois si je ne l’ai pas fait exprès, car j’aurais pu avoir des raisons valables de le faire (certes, c’est tiré par les cheveux mais bon ^^). Il faut dire que mon dernier séjour parisien, je m’en souviens très bien, puisque c’est celui où j’avais rencontré pour la première fois ma future ex copine dont j’étais fou amoureux (oui, j’étais naïf et aveugle, le syndrome classique, je n’échappe pas à la règle…) ! A ce très bon week end s’en sont suivies de grosses désillusions dont j’ai mis beaucoup de temps à me relever malheureusement. Aujourd’hui, j’essaie de garder le meilleur des souvenirs  et j’attends encore de rencontrer la bonne personne (là je pourrais en raconter des choses sur ce blog en termes de désespérances et de rencontres en tous genres, peut-être un jour qui sait ^^). En tout cas, je suis content de pouvoir bientôt « effacer » des tablettes l’état de ce séjour de septembre 2010 comme étant le dernier séjour parisien en date dans mon agenda ! Et j’espère bien que celui-ci en appellera vite d’autres 🙂

Puisque j’en étais à évoquer de manière très évasive mon « ex histoire d’amour », faisons un peu de psychologie de comptoir. Je me suis longtemps interrogé sur la place et la signification à donner aux quelques résidus d’une relation en générale, et de ma relation en particulier. Faut-il jeter les cadeaux, les lettres, les photos à la poubelle ? Les garder ? Mais alors où les mettre ? Dans un carton perdu à tout jamais au fond d’un placard ? Les placarder sur les murs comme un poster peut-être (pour jouer aux fléchettes ^^) ? Je ne sais pas s’il y a une solution générale au problème ! En tout cas, en ce qui me concerne, j’ai décidé 1) de jeter les cadeaux, du « matériel » qui n’avait plus aucune valeur sentimentale pour moi, 2) de conserver les photos (elles sont désormais perdues dans mon riche répertoire de photos) et 3) de conserver les lettres. En fait, je conserve dans une grosse boîte les lettres de la famille, de mes (ex)-amis et de mes(mon) (ex)-amour(s). Je pense que je prendrai pas mal de plaisir à les relire dans quelques années ! C’est ma façon à moi de tourner la page en tout cas, conserver ce qui a fait la force d’une relation (amicale ou amoureuse, même si elle n’existe plus). Ça ne sert à rien de les renier puisque ce sont ces événements qui nous construisent même s’ils sont douloureux !

Hmm, c’est bien de la psychologie à deux euros, je devrais peut-être aller me coucher. ^^

Un joujou gyroscopique

Je me suis récemment procuré un de ces joujous gyroscopiques ! C’est le très bon exemple du genre d’objets qui n’ont pas pour moi une grande utilité a priori mais que j’aime beaucoup pour leur look et pour leur manière de faire découvrir la Science. ^^ Par science, j’entends ici ce fameux effet gyroscopique que l’on ressent lorsque l’on met la bouboule en action. En fait, on commence à faire tourner le rotor (une roue qui tourne autour d’un axe donné, disons i), tandis que ce même rotor tourne autour d’un axe perpendiculaire à i (disons j, qu’on peut considérer comme étant constant pour simplifier les choses – en revanche i tourne du coup). Le tout produit un couple (une variation de la direction du moment cinétique) suivant l’axe k, le triplet (i,j,k) pouvant alors former une base plus ou moins orthonormée. Bon, c’est de la théorie à la grosse, mais ce genre d’objet est vraiment sympa pour mettre en évidence de manière amusante un tel phénomène physique. Je pense que dans une classe de lycée, un professeur de physique pourrait s’en servir de manière très didactique. Et puis, il faut savoir que ce fameux effet gyroscopique ne reste pas cantonner à un rôle purement théorique, mais intervient de manière très concrète dans certains domaines, par exemple sur les satellites, afin de leur permettre de s’orienter (contrôler leur attitude plus précisément) suivant un guidage précis, grâce aux CMG.

Bon, a priori, le joujou en question est plutôt vendu en tant qu’instrument de rééducation. Mouais, à vrai dire je n’ai aucune idée de la pertinence médicale de telles assertions – j’aurais même plutôt tendance à penser qu’abuser de l’instrument pourrait à la longue filer des tendinites aux poignets. ^^ Mais bon, je m’en fou un peu, je ne l’ai pas acheté pour ça !

Amazon addicted !

I think I should go to rehab one of these days ! Because my addiction to Amazon is becoming more and more annoying ! Well, not really for me, but for my bank account ^^ Everytime I see something that I find interesting (mostly books at the beginning) but now also computer things, both nice and useful objects and so on, I tend to put them automatically in my shopping cart ! I suppose it could be worse, i.e. I could buy them instantly ^^ However, I am not sure this is of such a relief for me ! It means there is room for worsening compulsive purchases ! Perhaps I am exaggerating a little bit. For instance, I’ve got almost 100 articles in my shopping cart at the moment, and anytime soon I will wish to buy them (OK, not the whole cart in one purchase ^^), and that is a little scary ! But that is also so comfortable when you have an idea of something you would like to get, to register it in your cart and save it for later !

I am aware of gambling websites where the « client » is protected from himself in the sense that you can set a threshold, which, when triggered, prevent the client from gambling or whatever it would take to spend money on the site ! Maybe Amazon should do that 🙂 Or maybe I am just becoming a new kind of compulsive buyer, the compulsive buyer 2.0, addicted to Amazon, but not to real stores and my only option is to go to the rehab 2.0 ^^

Lectures

Ce billet fait plus ou moins suite à celui-là. J’ai certes un peu baisser de rythme, (j’ai pas mal d’autres choses que j’essaie de faire en ce moment, du genre écrire, préparer mes futurs voyages – Tanzanie etc. -, faire de la photo, aller au cinéma, refaire le monde – et les gens -, faire du sport, dormir etc.), mais cela reste quand même raisonnable.

Je m’en étais arrêté lors de ma dernière liste au « Manuscrit trouvé à Saragosse (version de 1810) » de Jean Potocki. J’ai depuis enchaîné les bouquins suivants :

– La Vie mode d’emploi, de Georges Perec (absolument génial)

– If on a Winter’s Night a Traveler, de Italo Calvino

– Le hasard et la nécessité, de Jacques Monod

– Les choses, de Georges Perec

– A Pale View of Hills, de Kazuo Ishiguro (il ne me reste d’ailleurs plus que « The Unconsoled » à lire avant d’avoir fait – déjà hélas 🙁 – le tour de tout ce que Ishiguro a publié jusqu’à maintenant.

– Exercices de style, de Raymond Quesneau

– The English Patient, de Michael Ondaatje

– The Inheritance of Loss, de Kiran Desai

– From Eternity to Here, de Sean Carroll (j’en ai déjà parlé ici. Petite anecdote amusante concernant ce bouquin: je l’avais initialement commandé sur Amazon au mois de janvier et je l’avais embarqué dans mes valises pour occuper mes longues heures d’avion vers l’Australie. Et alors que je ne l’ai pas sorti de mon sac durant mon vol aller, c’est au cours d’un vol intérieur que ce qui devait arriver arriva : décidé à m’occuper durant les 3 petites heures de vol (et oui c’est grand l’Australie !) je l’ai bêtement oublié dans l’avion après l’avoir glissé dans la poche à vomi, à magazines. Du coup, je l’ai recommandé à mon retour ! Non mais !)

– Arcadia, de Tom Stoppard

– Les Trophées, de José Maria de Heredia (de très beaux poèmes !)

– In Cold Blood, de Truman Capote

From Eternity To Here : Physique, cosmologie et Big Bang

J’ai récemment terminé la lecture de From Eternity To Here: The Quest For The Ultimate Theory Of Time. Derrière ce titre un peu pompeux se cache un bouquin de très bonne facture écrit par le physicien américain Sean Carroll qui a pour but d’expliquer aux néophytes l’origine de la direction du temps que l’on ne perçoit à notre échelle que dans une seule direction (i.e. du passé vers le futur). Je ne peux que le conseiller aux férus de physique et aux pauvres frustrés dont j’ai fait parti lorsqu’étant préado, à chaque fois que je me demandais ce qu’il y pouvait y avoir avant le Big Bang, on me répondait (enfin les articles de vulgarisation que je lisais) que la question n’avait pas de sens, point final (très mauvais exemple de réponse qui va à l’encontre du raisonnement scientifique et du questionnement permanent à mon avis, mais je digresse !).

Le livre est très dense et brasse sur environ 400 pages des thèmes tels que l’entropie (le fil rouge de l’exposé), la relativité générale, la physique quantique, la gravité quantique (enfin ce qu’on en sait), les trous noirs, l’état de l’art en cosmologie (jusqu’à la singularité Big Bang globalement) et quelques tentatives pour expliquer ce Big Bang (Multiverses et compagnie…) de manière sensée. Bref, j’ai envie de dire, à mettre entre toutes les mains de gens passionnés car tous les livres de vulgarisation embrassant ces thèmes sont loin d’être de la même qualité.

J’ai tout de même deux petits bémols :

– même si c’est de la très bonne vulgarisation, cela n’empêche pas que sans un minimum de familiarité avec les grandes théorie de la physique, le lecteur « lambda » peut vite se retrouver un peu largué. Enfin, c’est mon opinion ^^. Dur dur de toute façon de faire de la vulgarisation sur un sujet aussi pointu qui soit compréhensible par le néophyte sans ennuyer ceux qui s’y connaissent déjà un peu.

– enfin, le livre n’existe qu’en anglais. Donc, si vous êtes allergiques à cette langue, je ne suis malheureusement pas sûr qu’une traduction française soit dans les tiroirs.